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UN HOMME NOMME JESUS vu par Stéphane Bern

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UN HOMME NOMME JESUS vu par Stéphane Bern

Émission au contenu équivoque consacrée à Jésus le samedi 5 mai au soir sur France 2. Comme on dit : « L’important c’est d’en avoir parlé ». En parlant de l’homme Jésus et en insistant sur le regard ainsi porté sur Lui on est content d’avoir évoqué le prophète ou le Messie.

Oubliant ainsi la réalité du  Fils de Dieu.

Émission au contenu équivoque car réalisée par un membre de cette religion, au sein de laquelle est né le réalisateur, qui ne reconnaît pas Jésus-Christ comme le Messie.

Lequel réalisateur nous procure de très belles images, en particulier de la Palestine.

Il y a des témoins intéressants comme le Cardinal de Paris, Jean-Christian Petitfils ou un ancien moine Didier Long, très sensé, et un Historien juif qui lui reconnaîtrait la réalité de la Résurrection laquelle contrarie pourtant les rabbins.

Mais Stéphane Bern s’est cru obligé de nous imposer la présence et les commentaires d’un moine bénédictin  défroqué (Frère Irénée en religion pendant 20 ans) de son nom d’artiste Michel Benoît, Dominique Sébire pour l’état-civil, présenté comme spécialiste des origines du christianisme. Ce renégat, qui a été chassé de son couvent pour ses propos hérétiques, nous inflige ses commentaires sur une voix doucereuse à la Jacques Gaillot, étrange ci-devant évêque d’Evreux.

- 46 minutes 39 : toujours la sempiternelle question de Jésus et ses 4 frères et  deux sœurs par Marie ou qui sont les enfants d’un premier mariage de Joseph ; aucune allusion à Jésus expirant sur la croix et disant à Jean : « Femme voici ton fils, fils voici ta mère ».

- 50 minutes : Marie-Madeleine et la dernière tentation du Christ ; elle aurait pu être plus… 

- 54.34 Miracle de Cana ; en fait de miracle ce sont des jarres au fond desquelles il restait quelques restes de raisins séchés dans du miel et de la myrrhe auxquels l’ajout d’un peu d’eau a permis de faire un excellent vin. Ben voyons ! Je vais essayer.

- 1 H 01 ; piscine de Siloë.  Frère Irénée, qui a travaillé dans les hôpitaux, nous apprend simplement que ce n’est pas un miracle de Jésus mais le choc émotionnel qui a entraîné la guérison de l’aveugle rencontrant Jésus. Je ne suis pas Jésus mais je vais essayer de créer un choc émotionnel chez les aveugles que je connais et faire de la concurrence aux instituts spécialisés !

- 1 H 10 : Jésus se montre violent et colérique avec les marchands du Temple ; c’est vrai que chez ces gens-là il ne faut pas toucher à la banque !

- 1 H 33. La Résurrection de Jésus. Le linge de tête bien plié chagrine Frère Irénée qui nous apprend, c’est un scoop, que ce sont finalement des complices qui, avec des comparses ont roulé la pierre du tombeau, plié les linges, enlevé le corps pour aller le cacher dans une de leurs nécropoles dans le désert où les ossements sont peut-être toujours. Il nous apprend aussi que, pour lui, Jésus délivré de tout, seul compte l’homme Jésus ! Pauvre Irénée ; on comprend que ses supérieurs l’aient viré de son monastère.

 

D'autres perles vous attendent car il aurait été fastidieux de tout éplucher mais relevons quand même : on nous démontre un tas de choses sur la date de la Nativité la conjonction astrale en un 25 décembre ; on ne nous dit pas si Marie utilisait pour langer Jésus du tissu ou des Pampers ; l’absence de trace ADN sur la pierre du tombeau comme quoi jamais personne, nous assène l’historienne de service, n’y a été inhumé. Quand au Saint Suaire c’est un faux. J’avais entendu une fois sur Europe 1  que c’était Léonard de Vinci qui y avait peint son chef d’œuvre… Plus de cent ans avant sa naissance et peint de telle façon qu’il ne puisse pas être vu ! Quelle abnégation de l’artiste ! Ah !  si Picasso avait pu utiliser ce procédé !

Je piaffe d'impatience de voir traiter de la même façon Mahomet et les traces d'ADN du cheval sur lequel il est monté au ciel avec la controverse menée par un imam apostat. Mais cela m'étonnerait les imams ne peuvent pas apostasier sous peine de rejoindre les ??? (nombreuses vu le nombre de candidats)vierges !

 

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THALASSA 14 MAI 2018..CECITE ETONNANTE !!!!

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THALASSA 14 MAI 2018..CECITE ETONNANTE !!!!

THALASSA CE SOIR se termine par une belle citation après un long passage en Charente-Maritime: FAIRE DU PASSE L'ATOUT MAJEUR DE L'AVENIR. Beau proverbe.

Mais alors pourquoi, après de longs passages sur l'île Madame et l'examen d'une huître dont la présentatrice s'émerveille de voir battre le cœur (nous sommes dans un bassin d'affinage de l'huître de clair), à proximité d'un fort Vauban ,ne découvre-t-on pas d'autres choses ?

Pourtant l'équipe est passée à proximité d'une très grande croix de galets visible de 3 km depuis le ciel.Rien pas un mot.On s'attendrit sur le cœur palpitant d'un mollusque mais pas sur les centaines de cœurs humains qui se sont sont arrêtés de battre à proximité et dont les carcasses reposent sous une croix de galets et encore dans les vases de l’embouchure de la Charente !
On passe à l'île de Ré mais pas un mot sur ceux qui y furent martyrs.On visite Brouage, mais pas un mot sur ceux que l'on y a fait "crever" (il n'y a pas d'autre mot), dans des conditions ignobles et indignes de la revendiquée "Patrie des droits de l'homme".
Bel hommage - mérité - à Eric Tabarly mais pas un seul pour ces martyrs, il est vrai de la Foi catholique, de simples prêtres et religieux venus de France et principalement des régions de Rodez ou de Malines-Bruxelles. C'est vrai qu'ils n'étaient que 1074 décédés - sur 4085 déportés entre 1793 et 1801- soit un peu plus d'un quart de victimes.
Ils ne font donc pas partie intégrante des valeurs (cachées) de la république pour qu'elle ne les exhibe pas ?

Non finalement le vrai dicton serait :L'ATOUT MAJEUR DE L'AVENIR : FAISONS DU PASSE TABLE RASE, le vrai dicton des révolutionnaires de mai 68, bourgeois renégats ré- embourgeoisés 50 ans après tel  cohn-Bandit !
 

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10 MAI 2018 A NANTES : LA FETE DES AFFRANCHIS

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Chaque 10 mai à Nantes est l’occasion d’une journée exotique ; on en doit l’origine à Chirac qui avait été élu brillamment et sans aucune fierté grâce aux voix de ceux qui l’avaient surnommé Super-menteur, pourri, vendu au premier tour des Présidentielles en 2002.

Il décide de fixer sur le plan national (cette spécificité «nationale» est autorisée par l’Europe) le 10 mai comme journée de la commémoration de l’abolition de l’esclavage. Taubira aurait voulu la date du 8 février en souvenir du Congrès de Vienne en 1815 ; le Hic étant que ledit Congrès souhaitait l’arrêt de la Traite négrière (les convois) et non celui de l’esclavage.

Le premier raout eut lieu à Nantes le 10 mai 2006 rassemblant (pardon pour ce participe présent inévitable) le ban et l’arrière ban des organisations dites antiracistes et surtout des personnes qui désirent être vues là où il faut, au nombre de 2000 (voire plus). Présidé par Jean-Marc, propriéMaire de Nantes, co-présidé par Octave Cestor, conseiller municipal, celui qui avait déclaré à la presse : "La Loire […]c’est un lieu symbolique d’où l’on débarquait les esclaves et ou certains étaient jetés par dessus bord. La Loire représente donc aussi un tombeau. Quand je la vois je me dis que les esprits de nos ancêtres sont là ".

En réponse à ce mensonge le Comité CélébrationS Charette organisait, avec publicité, une vraie cérémonie pour le rappel d’un vrai massacre, le dimanche 19 novembre. 35 personnes au restaurant le midi et cent pour écouter la conférence du Professeur Thierry Piel dans une salle du Musée Dobrée. TV7 Nantes qui avait filmé une partie de la cérémonie et le jeté de gerbe en Loire annulait ce reportage après que j’ai évoqué le fait qu’il n’y avait jamais eu d’esclaves noirs noyés en Loire ; ces personnes, avaient, en dehors de toute autre considération humaine et spirituelle, une valeur marchande et il n’était pas question de maltraiter un bien. Les seuls noirs noyés auraient pu être ceux de la compagnie Marat tombés des barques en noyant les prêtres et autres personnes pendant le mandat de Carrier à Nantes entre octobre 1793 et février 1794. Cela ne plut pas au Comité de rédaction sans aucun doute en liaison avec la mairie.

J’espère qu’Octave Cestor, dont les cheveux blanchissent, ne rencontrera pas Rokhaya Diallo, chroniqueuse qui ne veut pas des compresses blanches dans les pansements !

CAP COAST au Ghana

CAP COAST au Ghana

Ce 10 mai est aussi à l’origine de la création d’une usine à gaz et pompe à Finances : La Fondation  pour la mémoire de l’esclavage, voulue par la catastrophe en scooter Hollande entérinée par l’actuel squatter de l’Élysée. Elle sera présidée par J-M Ayrault qui trouvera là une nouvelle source de revenus s’ajoutant à sa petite retraite de 15 000€ par mois.

Il sera entouré de cinq personnes dites "qualifiées" : Doudou Diène, juriste sénégalais expert auprès de l’ONU pour les questions de racisme, xénophobie et discrimination raciale ; Olivier Laouchez, antillais d’origine a fait sa place dans les médias (Africa, musiques tropicales, hip hop etc) ; Leila Sy, réalisatrice franco-sénégalaise (rapp, hip hop) ; Francoise Vergés fille de l’ancien sénateur communiste de La Réunion et nièce de l’avocat étrange ; Lionel Zinsou franco-béninois et banquier d’affaire, président ou ancien président de Terra Nova (Banque d’investissement). Cette fondation est un groupement d’intérêt public donc financée par nous. Elle siègera dans l’Hôtel de la Marine place de la révolution à Paris.

L’esclavage est une chose qui a toujours existé ; ce n’est pas glorieux mais c’est ainsi et si la France est forcée de battre sa coulpe d’autres devraient le faire, en particulier ceux qui continuent malgré l’abolition du 27 avril 1848.

Et ceux qui devraient le faire plus particulièrement ce sont ceux qui ont fourni des esclaves pour être vendus. Il y avait des comptoirs pour ce faire et il n’y a pas eu de rezzous à l’intérieur des terres africaines comme le firent les arabo-musulmans sur les côtes de France ou d’Italie.

10 MAI 2018 A NANTES : LA FETE DES AFFRANCHIS

Enfin pour remettre les pendules à l’heure il était intéressant d’entendre et voir le 23 juillet 2017 sur la chaîne Public Sénat, devant un Elkabbach constipé en entendant les horreurs proférées par son interviewé, le Professeur Tidiane N’Dialé ; anthropologue sénégalais réputé et indiscutable il porte plusieurs charges contre les Arabo-musulmans (il ne sépare jamais ces deux termes) qu’il accuse de mener la traite négrière depuis treize siècles et des millions de morts à la clef (une dizaine rien que dans le Sub-Sahara) ; dénonçant le calvaire de Noirs par d’autres Noirs, clamant que c’est la colonisation européenne qui a fait cesser le massacre. Il annonçait enfin qu’il y a eu 70 millions de descendants de la Traite Atlantique alors que les esclaves de la Traite arabo-musulmane étaient systématiquement rendus eunuques.

Et il termina ses propos par : « Les crimes Arabo-musulmans sont les pires crimes mais c’est la France qui a déclaré que l’esclavage était un crime contre l’humanité. Pas eux ! Qu’on parle du nouvel Islam en Afrique mais que l’on commence par la vérité. Je suis musulman mais comme mon collègue Pétré-Grenouilleau, j’ai fait un travail de chercheur » travail qu’il a mis noir sur blanc (pardon) dans son ouvrage Le génocide voilé. Ouvrage à offrir au natif de Maulévrier ?

10 MAI 2018 A NANTES : LA FETE DES AFFRANCHIS

Un des principaux marchands d’esclaves était le Chef d’Annamaboé qui vendait les humains de son propre pays et ceux qui avaient perdu dans les luttes tribales. Lors d’un transfert vers La Barbade il demanda au capitaine du vaisseau britannique, après que ses affaires soient faites, d’emmener à Londres son fils le prince William Ansah où il devait être reçu par le roi Georges II. Mais le prince dut attendre quelques années car le capitaine fut trop heureux de faire une bonne affaire en vendant un esclave de qualité ! Libéré, il sera reçu à la Cour de Londres comme un prince !

Cap Coast capitale de la région centre du Ghana, située sur la côte du Golfe de Guinée, était un des principaux lieux de regroupement des esclaves avant d’être vendus aux négriers venus d’Europe mais pour être vendus en Amérique ou aux Antilles. Le Code Noir de Louis XIV- Colbert n’autorisait pas l’esclavage sur le sol du Royaume ceux qui arrivaient étant automatiquement affranchis.

 

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LECTURES FRANÇAISES PARLE DU SOUVENIR CHOUAN DE BRETAGNE

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LECTURES FRANÇAISES PARLE DU SOUVENIR CHOUAN DE BRETAGNE

Le mensuel contrerévolutionnaire Lectures Françaises a consacré au Souvenir Chouan de Bretagne deux demi-pages (39 et 40) de sa dernière publication d’avril. La rédaction de Lectures Françaises a surtout retenu l’article consacré au Musée-bibliothèque-archives l’Inguimbertine à Carpentras dans le Vaucluse installé dans l’ancien hôpital de l’Hôtel Dieu voulu par Monseigneur d’Inguimbert en 1754.

Cette prouesse culturelle a été réalisée par son  talentueux Conservateur général Monsieur Jean-François Delmas auquel le Souvenir Chouan de Bretagne réitère ses chaleureuses félicitations pour ce travail remarquable d‘éducation à la beauté et à la connaissance.

Si vous allez dans le Midi il vous faut absolument visiter cette merveille de culture.

 

Lectures Françaises évoque succinctement d’autres sujets traités tels que l’abbé Matthieu de Gruchy dont le Souvenir Chouan de Bretagne a été le seul à évoquer la mémoire pour le 220ème anniversaire de son exécution place Viarmes, le comte de Scépeaux qui fait l’objet d’une généreuse biographie à l’occasion de la sortie de l’ouvrage de Tanneguy Lehideux, et le superbe Aimé Picquet du Bois Guy.

Le mensuel évoque aussi Jean Jan dont nous saluerons la mémoire lors de notre rassemblement du 30 juin.

Merci à Lectures Françaises et à sa rédaction pour ce nouvel article qu’elle nous consacre.

 

Mais il ne faut pas hésiter à lire cette production de DPF VAD, BP 70001, 86190 Chiré en Montreuil ; revigorante, très bien documentée et laissant peu de part aux rêve sur les capacités de notre pauvre pays à se redresser dans les conditions actuelles d'absence de gouvernement volontaire.

Giscains des Stars disait déjà, en 1974 : Là où il y aura une volonté il y aura la France. Ce furent de belles paroles du dieu Éole.

Donc dans cette livraison de DPF des articles sur l'Education et les libertés scolaires, entr'autre, mais aussi l'ineffable Toubon qui aurait du s'appeler Toutmauvais par sa nullité sauf celle de s'être enrichi sur le dos des contribuables. Une lettre de Bismarck datant de 1871 sur les capacités des Français à s'auto-détruire comme ils l'ont montré avec le combat de la Commune contre l'Etat de droit. Ce numéro se termine par l'analyse d'un livre de Gérard Bédel sur le gaullisme, maladie sénile de la Droite, qui fera tousser.

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TINTIN EN AMERIQUE

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TINTIN EN AMERIQUE

Il peut être bon de relire L'article du Blog de février 2012 au moment où le locataire de l'Elysée vient faire la roue chez les ex-Insurgents qui avaient demandé l'aide de Louis XVI pour se libérer du joug des Anglais dont ils faisaient partie intégrante. Les Zadistes de l'époque en quelque sorte! 

Ces Insurgents commandés par un nommé Georges Washington qui quelques années auparavant avait assassiné un émissaire du roi Louis XV. Peut-être Trump, qui semble s'intéresser à l'Histoire, contera au petit Micron cet épisode de l'Histoire américaine qui fut un des éléments qui mit le feu aux poudres de la guerre de Sept ans (1756-1763) et fit des centaines de milliers de victimes à travers le monde ; cette Guerre de Sept ans qui mit aussi le feu aux poudres des colons anglais d'Amérique car ceux-ci furent l'objet d'une surtaxation de leurs productions pour nourrir la "royale-mère-patrie" presque ruinée par ce conflit de sept ans.

Le locataire de l'Elysée a été reçu à Mount Vernon la maisonnette de Washington à l'époque ; peut-être en lui faisant visiter les lieux en le promenant par la main ou durant le repas en l'ayant pris sur ses genoux Trump lui aura raconté cette page peu glorieuse de l'assassinat d'un diplomate français ?

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L’ÉCRIN DU CŒUR DE ANNE de BRETAGNE

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L’ÉCRIN DU CŒUR DE ANNE de BRETAGNE

L'écrin contenant le cœur de la Duchesse Anne, reine de France, a été volé par les révolutionnaires lors de la profanation des tombeaux des Carmes à Nantes en août ou plutôt en septembre 1792 ;  peut-être à la même période que les malfrats parisiens qui se livrèrent à la profanation des tombeaux de la Basilique de Saint Denis.

Mathurin Crucy avait sauvé les tombeaux, œuvres de Michel Colombe, en les démontant et en les dissimulant dans le Jardin des Plantes d'où ils seront exhumés en 1814 avant d'être installés dans le transept sud de la cathédrale en 1817. L'écrin, lui, prit le chemin de la fonte où une main "bénie" (Bretonne ?) le retira de la fonderie. La superbe pièce d'orfèvrerie fut alors dirigée vers La Monnaie à Paris et préservée au Cabinet des Médailles de la Bibliothèque Nationale. Cette ouvrage du XVIème revint à Nantes et au musée Thomas Dobrée le 18 avril 1896.

122 ans après, dans la nuit du 13 au 14 avril 2018 l'écrin est volé ainsi que d'autres pièces de collection.

Alors que tout le monde commence à faire son deuil de cette importante pièce mémorielle, un exploit de la Police judiciaire - dont il faut souligner la célérité - (des Bretons ?) permet de la retrouver entre Saint Nazaire et Saint Marc sur mer en Loire Atlantique le 21 avril.

Les malfrats, deux ont été interceptés, risquent dix ans de prison. Que comptaient-ils faire de cette pièce unique ? La fondre pour récupérer l'or ? Ce serait prendre beaucoup de risques pour une faible valeur pécuniaire (au prix de l'or aux alentours de 12 mille € pour cet objet qui pèse 500 G intérieur émaillé compris). Faire du chantage aux assurances, l'écrin étant assuré pour 5 Millions d'€ ? Ou chercher un riche collectionneur ? L'avenir et la police le diront.

Cette pièce d'orfèvrerie, vide mais débordante de mémoire, a été numérisée en Trois dimensions au Laboratoire de l'Archéosciences de l'Université de Rennes ; le résultat du travail est remarquable ; avec votre souris d'ordinateur vous allez voir cet écrin sous toutes ses faces, extérieures et intérieures, accompagnées d'explications précises.

Bonne promenade virtuelle du logis de Anne de Bretagne.

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RÉPUBLIQUE PARADOXALE ET POLYPHONIQUE......

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RÉPUBLIQUE PARADOXALE ET POLYPHONIQUE......

 

Ne pas entendre par polyphonique le chant mélodieux à plusieurs voix d’une même partition musicale mais plutôt le chant de voix discordantes sur des partitions diverses. C’est ce que démontrent, au collège des Bernardins, le discours entendu et les actes vus de celui qui croit qu’il a un quelconque pouvoir pour sauver la France de la débâcle.

Un Gamelin associé à un Paul Reynaud du XXIème siècle. Un redoutable séducteur !

 

Les applaudissements nourris de l’assemblée mais aussi des évêques présents (il suffit de voir derrière sa moustache le regard épanoui de Fonlupt l’évêque de Rodez, diocèse en perdition alors qu’il fut riche en vocations il y a une vingtaine d’années) semblent traduire une grande satisfaction des propos tenus pendant une heure par Macron, enfumage disent certains alors que le mot anesthésie serait plus véridique.

 

« Le lien entre l’Eglise et l’Etat s’est abîmé il nous incombe, à vous comme à moi, de le réparer ». La vérité aurait exigé que l’ordre des responsabilités fut inversé : Le lien entre l’Etat et l’Eglise s’est abîmé, il incombe à l’Etat de le réparer ; en effet il suffit d’entendre les cris d’orfraies des jacobins dès que l’Eglise reprend son rôle de responsable moral à défaut de spirituel. Que ce soit Juppé à l’égard du Pape Benoît XVI ou Valse (c’est voulu) avec les manifestations contre le mariage monosexe. C’est l’Etat qui s’en prend régulièrement à l’Eglise depuis 1789 avec sa phase spoliatrice de 1905, la chasse aux Congrégations jusqu’aux derniers risques pour les écoles privées hors contrat.

 

« La laïcité n’a certainement pas pour fonction de nier le spirituel au nom du temporel ni de déraciner de nos sociétés la part sacré qui nourrit tant de nos concitoyens ». Ces propos visent-ils ceux de Peillon accablant l’Eglise il y a quelques années ou ne seraient-ils pas plutôt une simple bouillie pour les chats catholiques.

Il salue l’Eglise qui veille sur « la dignité des plus fragiles » mais lui reconnaît un simple rôle d’assistant « la France a été fortifiée par l’engagement des catholiques » oubliant que l’Eglise auprès des Rois qui ont fait la France a un vrai rôle fondateur, y compris dans ses institutions, et non de fortifiant ; que certain clergé  a été responsable de la révolution au nom de soi-disant principes chrétiens y compris dans l’élaboration des Droits de l’homme et du citoyen. « La part catholique de la France », « l’engagement de l’Eglise auprès des plus faibles » en citant deux organisations caritatives mais caressant dans le sens du poil avec vous devez « vous engager dans le combat politique » (contre qui ?) mais « en obéissant à la république » c’est « la règle d’airain » ! Donc obéissance dans le bon sens.

 

Si le cardinal Vingt-Trois applaudit très mollement, d’autres évêques (Lalanne) manifestent un bel enthousiasme ; en remerciement pour le Vade mecum que le rusé président vient de déposer à leurs pieds avec l’onguent sédatif dans leurs oreilles ?

 

En effet Macron aurait pu montrer les actes de son discours dans un exercice simple : La peine de mort a été abolie le 18 septembre 1981 par le combat de Badinter ; cette abolition est destinée aux assassins et criminels.

 

Elle ne concerne en rien les innocents condamnés à mort par les criminels y compris ceux en blouse blanche. L’abolition de la  peine de mort va être abolie pour Vincent Lambert dont les parents demandent qu’il  soit mis dans un service médical spécialisé prêt à l’accueillir. Cela est refusé par l’Etat sous la responsabilité du docteur Vincent Sanchez, gériatre de formation et Chef du service de soins palliatifs du CHU de Reims qui vient de décider de l’exécution de son malade par privation de toute alimentation y compris par perfusion de sérum isotonique glucosé ou salé. Une mort qui va durer plusieurs jours comme elle a été appliquée récemment dans un hôpital de la Sarthe à un ancien Membre du Souvenir Chouan de Bretagne. Est-ce cela le respect de la dignité humaine ?

 

Une exécution comme celle qui a été prononcée contre saint Maximilien Kolbe.

 

Oh ! Les évêques, comme Macron vous l’a dit aux Bernardins, engagez-vous dans le combat politique ; pour le moment il n’y a qu’un évêque, absent à Paris, mais explicite dans son diocèse qui a lancé un appel pour sauver Vincent Lambert.

1 évêque sur 171 (actifs et émérites) en métropole !

 

Autre paradoxe républicain : Le colonel Beltrame encensé à juste titre pour son acte de soldat, devenu par sa mort un acte sacrificiel (ce qu'il n'avait certainement pas envisagé) aurait-il été encensé autant s'il n'avait pas été tué ? La question peut se poser lorsque l'on entend que les trois légionnaires qui ont défendu une jeune fille agressée par un voyou voleur vont passer en justice parce qu'ils ont cassé une dent audit voyou !

 

Sacrée république des paradoxes. Trois petits points, c'est tout !

 

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FEIZ HA BREIZ FOI ET BRETAGNE ABBÉ JEAN-MARIE PERROT

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FEIZ HA BREIZ           FOI ET BRETAGNE                            ABBÉ JEAN-MARIE PERROT

Belle réunion hier soir à Vannes organisée par le Cercle Jean-Pierre Calloc’h pour entendre une conférence donnée sur l’abbé Jean-Marie Perrot, Yann-Vari Perrot, assassiné sur la route le ramenant à Scrignac, à hauteur de la chapelle de Koatkéo après avoir célébré la messe en la chapelle saint Corentin. A quelques mètres de l’endroit ou avait été assassiné et massacré en 1797 son prédécesseur l’abbé Claude Jegou (Klaoda Jegou) par des Bleus, ancêtres des communistes anticatholiques de 1943. Yann-Vari Perrot avait dans les années 30 exhumé les restes de son prédécesseur et les avait inhumés près de la chapelle dédiée à la Sainte Vierge qu’il avait faite restaurer à partir des ruines de l’antique lieu de culte laissées par la révolution.

C’est dans cette chapelle de Koatkéo que le mariage des parents du conférencier d’hier soir avait été célébré par l’abbé Yann-Vari Perrot en 1939 ; c’est dans cette même chapelle qu’ils célébrèrent leurs noces d’or en 1989. Et c’est par les mains du même abbé Perrot que notre orateur fut baptisé.

Des liens donc sensibles et intimes entre le prêtre évoqué et Youenn Caouissin qui entraîna la centaine de personnes présentes à la découverte véridique de  la vie de ce prêtre, malmené par une histoire résistantialo-bolchévique ramenée volontairement à l’occupation allemande dont on oublie un peu trop souvent qu’elle eut lieu à cause de la défaite des Armées françaises devant un ennemi pas forcément mieux armé mais surtout plus discipliné et non miné par un défaitisme lié en particulier aux accords signés entre les nazis et les soviétiques.

Des armées allemandes dont les armes n’étaient pas sabotées par un ennemi intérieur qui, une fois la défaite consommée, restera à la solde de l’ennemi jusqu’au 22 juin 1941 lors du déclenchement de la guerre contre les soviétiques.

Mais cela est une autre histoire.

Catholique fervent et engagé dans le chemin de l’apostolat son évêque le trouvant trop religieusement turbulent l’avait envoyé en exil dans ce territoire nord-finistérien surnommé la petite russie bretonne. Un territoire fortement tenu par les disciples de Lénine et Trotski, leur démagogie, leur terreur.

Un presbytère ouvert à tous, à condition de laisser à l’entrée les idées dissonantes qu’elles soient politiques ou autres. Contrairement à ce qui est dit ou écrit il est très éloigné des séparatistes ; il est empli de Nation bretonne unie à la France comme en 1532. Violemment anti-révolution qui a fait perdre son indépendance à sa Bretagne et l’anéantit inexorablement. Unicité de cette Province dans le seul et salvateur christianisme. Des propos outrageants pour un communisme apatride qui, tel un suppôt d’Al Capone, va payer 1000 Francs de l’époque un tueur à gage, Jean Thépaut, pour exécuter l’abbé revenant de célébrer  la messe accompagné de son enfant de chœur.

 
La terreur communiste est telle que personne n’osera toucher au corps de l’abbé. Seule sa servante l’assistera dans son agonie de plusieurs heures.

Il fut un Confesseur de la foi mais on ne le verra jamais sur les autels ; quel évêque prendrait le risque ?

Cela fera 75 ans en décembre qu’il a été assassiné ; le 2 avril en ce lundi de Pâques 2018 sa tombe a été profanée avec une inscription le traitant de fasciste. Ce qui montre que les tagueurs ont une méconnaissance totale de ce qu’est le fascisme, idéologie de gauche popularisée par Mussolini, nourri de Marx, Bakounine, avec sa descente sur Rome en 1922 après qu’il ait fait alliance avec la bourgeoisie comme elle l’a fait en France en 1789-1792.

L’abbé Yann-Vari Perrot a été le dernier d’une série de recteurs de Scrignac assassinés à cause de leur Foi : Klaoda Jegou en 1797, Etienne Bernard mort en prison le 17 juillet1795, l’abbé Coz guillotiné à Brest en 1794.

 

Feiz ha Breiz….Foi et Bretagne. L'abbé Perrot avait 66 ans.

 

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PONTIVY SAMEDI SAINT 30 MARS 1793

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PONTIVY SAMEDI SAINT 30 MARS 1793

RÉPRESSION APRES LA TENTATIVE DES RÉVOLTÉS DE PRENDRE PONTIVY APRES L’ATTAQUE DE PLUMELIAU

Le 12 mars Pluméliau est pris par des Révoltés excédés – déjà – par le comportement des révolutionnaires. Le 15 mars la tentative de prise de Pontivy a échoué. Stupidement pourrait-on dire. En effet les combattants au lieu de poursuivre les fuyards Bleus se sont octroyés un peu de bon temps pour savourer leur victoire.

Lorsqu’ils reprennent le cours de leur combat les fuyards ont atteint Pontivy et la municipalité pris ses dispositions.

53 Révoltés sont faits prisonniers. 4 sont relâchés, 19 sont remis au Juge de paix, 18 transférés à Vannes pour être jugés par le Tribunal criminel. 12 sont condamnés à mort ; il n’a pas été trouvé trace d’un éventuel procès. Dans les 19 remis au Juge de paix figurent des conscrits qui vont se retrouver sous les armes.

Les exécutions vont se faire en deux fois :

- Le vendredi 29 mars, Vendredi Saint 9 révoltés sont guillotinés place du Martray à Pontivy :  Grégoire Gigourel, laboureur chaumier, de Guern ; Jean Léanic, laboureur, de Guern ; Mathurin Quinques, de Noyal-Pontivy ; Jean Jossin, de Guern ; Guillaume Le Bostan, tailleur, de Neulliac, Yves Le Moing, laboureur et propriétaire, de Cléguérec (lointain parent de notre adhérent ?) Jacques Le Tellier, de Pluméliau, Jean Le Moulec, employé de ferme, de Cléguérec ; François Bauquer, maçon, de Pluméliau.

 

- le samedi 30 mars, Samedi Saint c’est au tour de trois autres de subir la peine capitale : Yves Le Galvihan de Guern, Guillaume Le Braire, de Cléguérec,  René Guignan,  laboureur, de  Guern.

Le constat de décès est dressé globalement le samedi par Maurice Guinard, officier public, sous la signature du secrétaire- greffier de la mairie Louis-Augustin Le Bohec et  du citoyen Matette de la municipalité. Ce constat global démontre que les suppliciés du vendredi n'ont pas été ensevelis, certainement pour servir d'exemples.

 

A Pipriac (Ille et Vilaine),  c'est l'abbé David, curé de la paroisse,  qui s'interpose entre les Bleus venus l'arrêter et les paysans venus le délivrer ; ce qu'ils réussiront.

 

A suivre dans La revue de juin

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VIVRE DEBOUT ET NON COUCHE DEVANT LES DIKTATS QUELS QU'IL SOIENT!!!

Publié le par culture

VIVRE DEBOUT ET NON COUCHE DEVANT LES DIKTATS  QUELS QU'IL SOIENT!!!

 

Le Lieutenant-colonel Arnaud Beltrame est mort quelques heures après qu’un assassin potentiel et volontairement ignoré par les services adéquats aveuglément incompétents lui ait infligé des blessures mortelles par balles et à l’arme blanche.

Il était né à Trédion, à  peu de distance du village de Aguénéac dont ce bourg était la trêve.

Aguénéac où, dans le cimetière, se trouve la tombe de l’abbé Pierre Coëdelo, curé de la paroisse massacré par les Bleus le 22 octobre 1795 qui profanèrent aussi les Saintes Espèces qu’il essayait de protéger de leur fureur. Arnaud Beltrame a, sans aucun doute, trouvé les bases de ses convictions dans cette terre morbihannaise.

La Vie, ex Catholique, compare son élan salvateur à celui de Saint Maximilien Kolbe ; il ne faudrait pas exagérer dans les comparaisons. Bien sûr qu’un militaire même gendarme (ils ne sont pas tous au bord des routes derrière leurs radars à pister celui qui va dépasser la vitesse limitée de 5 ou 10 Km/h) sait que par son engagement il a plus de risque d’être blessé ou tué que le fonctionnaire derrière son guichet de la Sécu. Même si ce risque est important c’est pour vivre un idéal que les militaires – devenus de carrière - s’engagent et non pour se faire tuer !

Alors que le sacrifice de saint Maximilien Kolbe est entier, librement consenti en totale acceptation des conséquences de son geste qu’il sait inévitablement mortelles puisqu’il prend la place d’un père de famille polonais condamné à mourir de faim et de soif. Mort atroce.

Sans rien enlever à son geste magnifique de grandeur, à une époque où l’on voit surtout des réactions reptiliennes, le Lieutenant-colonel Beltrame n’avait certainement pas envisagé, en prenant la place d’une otage, de se faire gratuitement assassiné par une racaille islamiste dont il n’avait certainement pas mesuré le degré de haine pour notre civilisation et que l’uniforme accentuait.

Un chanoine de Lagrasse a raconté le parcours de ce militaire qu’il connaissait et allait marier catholiquement en juin à Trédion ; le Grand-maître de la Grande Loge Nationale Française, Philippe Charuel a publié un communiqué rendant hommage au Lieutenant-colonel qui avait adhéré à la Franc-maçonnerie en 2008 ; il semblerait qu’il en soit parti. Peut-être est-ce cette soif d’absolu qu’il avait finalement trouvé dans le catholicisme qui l’avait fait se fourvoyer dans l’idéal trompeur des sectes maçonniques comme la GLNF.

Mais son geste ultime, marqué par la charité chrétienne, est surtout un geste de chevalier, de grandeur, de dignité humaine, d’autant plus remarquable en un temps où même les pouvoirs publics avec leurs lois liberticides veulent forcer le peuple à devenir serve !

Merci Monsieur le Lieutenant-colonel et que Dieu vous accorde sa Paix.

 

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