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DES RACINES ET DES AILES, MERCREDI 20 FEVRIER

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DES RACINES ET DES AILES, MERCREDI 20 FEVRIER

Des Racines et des Ailes hier soir mercredi 20 février aurait pu s'appeler des Racines et un Aigle tant l'émission sentait bon le bonapartisme !

Il s'agissait de découvrir la route Napoléon du Golfe Jouan à Grenoble.

Commenté par un "spécialiste" de Napoléon l'émission nous fit nous promener dans de très beaux lieux et apprécier les senteurs et mets provençaux.

Sur le plan Histoire on peut discuter. Comparer le retour de celui qui a signé son abdication le 4 avril 1814 avec la marche de Hannibal 300 ans avant notre ère (218 ans avant Jésus-Christ en réalité) à la tête de ses éléphants dans la neige (novembre et décembre - 218) avec les pérégrinations napoléoniennes  en début mars sur le sol de Provence dans la même neige est un peu étonnant. Les conditions climatiques entre le col du Petit saint Bernard et la Provence ne sont pas les mêmes entre novembre et mars!

David Chanteranne, l'historien "spécialiste" de service, nous chante les valeurs de l'Empereur déchu qui revient pour sauver la France, oubliant que ce sauvetage fera des milliers de morts supplémentaires à Waterloo. Oubliant aussi que le pouvoir de Louis XVIII, quoique l'on puisse en dire, est voulu, grâce aux palinodies de Talleyrand, par les Alliés qui ont vaincu Napoléon.

Il commet de plus une erreur de langage lorsqu'il parle des troupes du Souverain en les appelant "royalistes" terme qui pouvait s'appliquer pour les Émigrés en Prusse ou ailleurs, voire pour les vendéens ou les Chouans ; là il s'agit de l'armée régulière, l'Armée Royale ou les Troupes Royales.

Si effectivement les Anglais pensaient l'envoyer à Saint Hélène dès son abdication ils y pensaient déjà en 1802 comme l'a dit Georges Cadoudal.

Une nouvelle fois il est dommage que "Des Racines et des Ailes" qui nous montre, comme hier soir de très belles images, ne fasse pas pour l'Ile Madame ou d'autres sujets sensibles des enquêtes fouillées mieux que celle-là !

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18 FEVRIER 1800 : LOUIS DE FROTTE ET SES COMPAGNONS D'INFORTUNE

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18 FEVRIER 1800 : LOUIS DE FROTTE ET SES COMPAGNONS D'INFORTUNE

 

Verneuil sur Avre est située dans l'Eure à 70 km d'Alençon et à 110 de Paris.  

Le 18 février 1800 Louis de Frotté et ses six compagnons d’infortune sont abattus après une parodie de procès sur ordre de Bonaparte 1er Consul.

 

Louis de Frotté, né à Alençon le 5 août 1766, avait été baptisé dans la foi catholique, sur insistance de sa mère mais,  après la mort de sa maman alors qu’il avait sept ans, vivant dans une famille protestante il en pratiqua la religion. Mais toujours il resta fidèle au Roi très chrétien qu’il servit et auquel il attesta de sa fidélité en luttant contre la révolution et ses séquelles, la république sous ses formes différentes : Directoire et Consulat.

 

Il servit le Roi dès 1781 et jusqu'à 1792, avant de rejoindre les armées du duc de Brunswick, étant à ses côtés lors de l'affaire de Valmy où eurent lieu les traficotages maintenant avérés pour laisser la victoire aux armées révolutionnaires. Il émigre en Italie, puis en Allemagne avant de rejoindre les émigrés en Angleterre.

 

Mais Louis de Frotté est aussi un grand de la Chouannerie qui souleva toute la Basse Normandie après y être revenu au début de 1795 ; il eut sous ses ordres jusqu'à onze mille hommes qu'il entraînait ou faisait entraîner tous les jours, marche, tir, initiation au combat et à l'embuscade, leur apprenant à tout connaître d'une guerre ordinaire ou de guérilla. Il refusa les accords de La Mabilais (comme Cadoudal).

 

Un  lecteur a précisé que Protestant par culture familiale, bien que baptisé dans le catholicisme maternel, c'est « par solidarité avec les nouveaux persécutés royalistes et catholiques que Louis de Frotté, resté monarchiste comme bien d'autres protestants, a pris la tête du mouvement royaliste en Normandie ».

 

Mais il fut bientôt confronté à Hoche qui avec ses bataillons convertissait à la paix, de gré ou de force, les régions soulevées de la Loire à la Bretagne, s'était débarrassé de l'affaire de Quiberon où les Anglais n'ayant pas joué franc jeu (voir La Revue du SCB N° 40 et 41).

 

L'Agence Royaliste de Paris (émanation de Louis XVIII), qui comptait d'anciens conventionnels dans ses rangs et le curieux Père Brottier (et non abbé car il était moine), était pour une royauté constitutionnelle dont le roi Louis XVIII aurait eu pour premier ministre Buonaparte. Elle avait eu un comportement curieux lors du débarquement de Carnac le 27 juin 1795 et lors de l’Affaire de Quiberon, et un rôle pas très clair lors du périple qui avait vu l’embuscade de Coëtlogon. Ceux qui enrayaient ses plans fumeux étaient condamnés.

En Novembre 1799  Frotté est à la tête  d’une armée de 10.000 hommes et la victoire de Pacy sur Eure le met à 85 kilomètres de Paris !!

 

Après la prise d’Argentan le 21 Janvier 1800, Buonaparte lance contre les derniers Chouans 60.000 hommes. Frotté décide de négocier, pendant que Georges livre bataille au Pont du Loc’h dans le Morbihan. Sur décision du Premier Consul, le général Hédouville qui commandait la pacification dans l’Ouest (Louis Lazare Hoche étant décédé en Allemagne en 1797) offre à Frotté de parlementer.

 

Mais il avait eu l’occasion de montrer tout son mépris à Buonaparte qui fera du comte son ennemi personnel. Le général Brune Le commandant   en chef des Forces de l’Ouest lui donne ainsi qu’à ses compagnons un sauf-conduit pour rejoindre Alençon le 15 Février 1800.

 

Ce fut le général Guidal qui fut chargé des formalités et fit remettre convocation et sauf-conduit pour Louis de Frotté et ses six officiers (Isaac Dumont de Lamberville, baron du Hum, baron d’Hugon, baron de Commarque, Florent-Martin d’Hauricourt et  Pascal Sechiordi) pour qu’ils se rendent à l’hôtel du Cygne à Alençon.

 

Le 15 février 1800 à minuit, après deux jours sans aucune discussion sur une éventuelle soumission, Guidal  partit ; des grenadiers vinrent faire prisonnier les sept officiers Chouans. A Frotté qui s’insurgeait devant cette façon d’agir il fut répondu que les sauf-conduits avaient expiré à minuit et qu’ils allaient être conduits à Paris. Un courrier est envoyé à Bonaparte aux Tuileries.

 

 Sous très forte escorte, les prisonniers prirent la route le 16. Le 17 ils arrivèrent à Verneuil sur Avre vers la mi-journée. Au moment de repartir un ordre arrive de Paris ordonnant d’organiser une Commission militaire pour juger les 7 Royalistes. Ce qui est fait le 18, sans avocat, sans Appel, sans Cassation, comme au "bon vieux temps" de Fouquier-Tinville ! Un seul verdict : la mort.

 

Le comte de Frotté demande une bouteille de vin et des verres. Les sept officiers Chouans trinquent en clamant " Vive le Roi ", brisent leurs verres et la bouteille en les jetant contre un mur. A cinq heures de l’après-midi, ils sont emmenés sur le lieu de la mise à mort, (marqué maintenant par un menhir du Souvenir de la Chouannerie Normande inauguré en octobre 1973).

 

Une autre version de leur exécution est aussi plausible, c’est celle que j’ai entendu lors du 200ème anniversaire : ils auraient été exécutés le long du mur du cimetière et leurs corps balancés par dessus et inhumés tardivement.

Louis de Frotté et ses compagnons font face aux treize hommes du peloton (treize balles pour six hommes !) ; le coup de grâce est donné aux victimes dont les souffrances cessent enfin.

 

Leurs restes exhumés de la fosse commune sont déposés dans la crypte de l’église de la Madeleine en 1814. En mars 1826  David d’Angers livre un cénotaphe,  une plaque mémorial en marbre de Carrare sculptée faisant le rapprochement avec les frères Macchabées de l’Ancien Testament.

 

Le 19 février 2000 une remarquable journée du Souvenir présidée par Jean-François Chiappe, organisée, avec la participation de nombreuses Associations, par le Cercle Louis de Frotté, Présence de La Varende et la Chouannerie Normande, débuta par la messe de Requiem célébrée en l’église de La Madeleine, bondée ; le maire UDF Pétiet, venu avec un grand nombre de ses conseillers municipaux, fit un historique à la fin de la cérémonie. Des gerbes furent ensuite déposées au pied du monument sous une pluie torrentielle ; ce fut là le baptême du tout neuf drapeau du Souvenir Chouan de Bretagne.

 

204 privilégiés se retrouvèrent pour un réconfortant repas dans une salle bien chauffée ce qui permit de se sécher. Les représentants des associations furent invités à monter sur scène pour présenter leurs associations. Je fus même exceptionnellement autorisé à faire appel aux dons pour notre monument du Pont du Loc’h.

 

L’après-midi une visite des lieux historiques de Verneuil sur Avre fut menée par l’adjoint à la culture. J’avais appris que le maire UDF Pétiet avait récupéré, sans vergogne, les lauriers de l’accueil de la ville alors qu’il était formellement opposé à toute cérémonie. C’est l’Adjoint à la culture qui avait forcé la municipalité à l’organisation, au nom de l’Histoire.

 

Lors de la visite je m’approchais de l’Adjoint et après les politesses d’usage je lui demandais : Monsieur Lep.. ayant appris vos idées politiques je ne comprends pas qu’un communiste ait voulu cette journée du souvenir d’un noble car c’est grâce à vous, contre l’opposition du maire, qu’elle a eu lieu ?

"Monsieur, Louis de Frotté s'est levé contre la dictature et pour défendre le peuple opprimé par la bourgeoisie parisienne."  

Etonnant, non ?

           

 

 

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CHEVETEL DANS LE MIROIR !

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CHEVETEL DANS LE MIROIR !

Chevetel est décédé le 15 février 1834 Il a été maire d’Orly de mai 1810 à 1831 (mairie d’Orly consultée le 6 février 2019). Son épouse, Marie-Anne Nones, qui fut actrice sous le nom de Mademoiselle Fleury est décédée le 23 février 1818. Ils ont acquis une vaste propriété derrière le chevet de l’église Saint Germain d’Orly rue Paruseau (Louis Bonin) et, certainement pas,  loin du village de l’époque.

Dans le roman dit historique ce triste individu meurt d’abord en l’hiver 1832 (page 4 de couverture) mais sans aucun doute possédé du démon il revient à la vie et meurt finalement le 7 février 1834 (page 10). Bien que ce soit le 15 février, 1834, selon la déclaration de la mairie d’Orly. Par des températures qui évoquaient déjà le réchauffement climatique et non la Sibérie !

D’après ce même roman historique il aurait accompagné la marquise de La Rouërie à Cauterets et il l’aurait empoisonnée, laissant tuer, au passage les accompagnateurs, le cocher et sa femme de chambre avec la complicité du gendarme Laligant. Dans les papiers, dits de Chevetel, concordant aux faits mais non signés, il est simplement dit que le marquis perdit sa femme quelques mois après son mariage (26 décembre 1785-18 juillet 1786 archives du département des hautes Pyrénées certificat de décès signé par le Curé Lacrampe ; 3 autres prêtres ont assisté aux obsèques). D’après les papiers de Colin de La Contrie c’est bien le marquis de La Rouërie qui a accompagné sa femme dans les Hautes Pyrénées. Ce n’est pas parce que l’on a lu une fadaise et qu’on la répète que cela la fait devenir une vérité !

A cette époque Laligant a été renvoyé des « Gendarmes rouges » pour diverses malversations et surtout il a épousé le 20 avril 1782 en l'église Saint Similien de Nantes Marie-Anne Laisant, fille de Antoine Laisant fournisseur de bois pour la marine (très belle situation à l’époque) son nom apparaît comme Pierre-Bénigne Lelingant de Morillon (Morillon étant une terre de la région d’Autun que son père avait achetée, noblesse de terre comme cela existe en Anjou).

Volage, après avoir pillé la fortune de sa femme, il la quitte ; le divorce sera prononcé le 22 décembre 1792.

Mais il avait déjà quitté sa femme depuis des années ; le 20 octobre 1791 il fut condamné à 15 ans de fers pour fabrication de fausse monnaie (il fabriquait de faux louis en cuivre doré) au Mont près de Paray le Monial ; il s’échappât avant l'incarcération définitive. Il ne pouvait pas être dans la région de Cauterets à l’époque de son mariage et  de ses exploits monétaires !

Roman oui ; historique certainement pas ou à 10 % par les noms de personnages comme marquis de La Rouërie, Louise-Charlotte Guérin de Saint Brice, Thérèse de Moëllien, Chevetel, Laligant, La Rouërie, comte de Noyan, Danton, Fabre, retour de la famille royale à Paris après son évasion ratée etc.

Certains média, ne connaissant manifestement rien à cet épisode de l'Histoire de Bretagne se sont emballés sur un écrit qui n’apporte absolument rien à l’Histoire !

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CHEVETEL. DECOUVERTE DU TRAÎTRE AUX ARCHIVES NATIONALES

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CHEVETEL. DECOUVERTE DU TRAÎTRE AUX ARCHIVES NATIONALES

Éloquemment discrètes les ARCHIVES NATIONALES auxquelles, sans les consulter, on prête de celer des secrets inavouables sur le traître Chevetel.

Presque un oxymore cet adverbe et cet adjectif pour qualifier les ARCHIVES NATIONALES à propos du traître prénommé Valentin Marie Magloire.

Vous tapez des mots clés et variés selon les sujets ou les personnages que vous recherchez et vous trouvez de grandes quantités d’information ; par exemple pour Robespierre il faut sélectionner un thème tellement le « carton » déborde !

Pour CHEVETEL enfin, la vérité allait sortir du tombeau des archives.

Effectivement ; voilà le résultat des longues recherches :

 

1/ Une demande «  à être admis dans la Légion d’honneur » de Louis-André Gabriel CHEVETEL né le 10 septembre 1769 à Bazouges la Pérouze, volontaire au 1er Bataillon d’Isle et Vilaine, capitaine aide de camp du Mal d’Empire Augereau.

 

2/ CHEVETEL Auguste Ambroise, né à Fougères, fait chevalier de la Légion d’honneur le 12 juin 1855 et décédé le 2 juin 1858

 

3/ Correspondance des Préfets : Maires et adjoints des 12 arrondissements (1810-1816) ; Conseillers d’arrondissements de Saint Denis etc, Sceaux : Conseiller d’arrondissement CHEVETEL. (Cela concerne bien l’individu recherché puisque maire d’Orly dans l’arrondissement de Sceaux à l’époque. Mais c'est seulement un nom dans une liste. Note SCB).

 

4/4 mai 1802 Testament de Marguerite Regnault devant Maître Nicolas Hua notaire à Paris

Je soussignée, Marie Marguerite Regnault, fille majeure, attendu que je rejoins mes parents et voulant reconnaître les services que le citoyen Toussaint Desguers [ou Lescuyer ?] m'a rendu, et ceux que j'espère il me rendra avec cœur, je déclare le faire et l'institue par mon présent testament mon légataire universel de tous les biens que je délaisse à mon décès, pour par lui en jouir et disposer en toute propriété et comme de choses lui appartenant. Je prie le citoyen CHEVETEL, agent général des hôpitaux de vouloir bien veiller à l'exécution de mon présent testament, le nommant, pour cet effet, mon exécuteur testamentaire. Fait à Paris, ce deux pluviôse an dix de la République française.

 

5/ Fonds Georges (véridique !) Lenotre XVIIIè-XXème siècle : 1 note relative à CHEVETEL qui dénonce les conspirateurs. Autre : copie de la liste des créanciers (établie en 1812) d’Armand de La Rouërie.(La note relative à Chevetel est de Gosselin Lenotre et non de Chevetel. Note SCB)

 

C’EST TOUT.

En fait  « Son triste rôle a été dévoilé par les pièces conservées aux Archives nationales » nous laisse sur notre faim ! On est jusque là loin de la "grande rigueur historique" revendiquée !!!

 

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7 FEVRIER 1834 à ORLY.....

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7 FEVRIER 1834 à ORLY.....

Il y a 185 ans exactement, ce vendredi,  les températures oscillent entre + 1° et  + 6,6°. Aucune précipitation depuis des semaines, ni neige ni pluie ; nous sommes loin des températures sibériennes dans lesquelles se débattrait un certain nommé CHEVETEL.

Depuis ce début de mois de février si le 2 il a fait - 4° la température est montée ensuite à + 3,8°, le 3 il y eut entre 0 et + 4,2°, le 4 entre - 1,5 et + 7,3°, le 5 entre + 3 et + 8,2° et hier, le 6 entre + 5,5 et + 9,8.

Déjà en ce mois de février 1834 on pouvait anticiper sur le réchauffement climatique !

C’était un peu ces températures qu’il y avait eu en Bretagne le 30 janvier 1793, 41 ans plus tôt, mais accompagnées des fortes pluies habituelles.

 

De tout le mois, dans la région parisienne,  il n’y a pas de fortes basses températures, ni neige ni précipitation. Pour un roman prétendument historique cela la fiche mal de démarrer avec des données météorologiques fausses ! Sans compter que l’histoire est censée se dérouler en deux périodes ; en quatre de couverture le décès l’hiver 1832 et à la première ligne du chapitre I en février 1834.

Chevetel devait être muni de pouvoirs sataniques, pouvant tuer à distance, par exemple le marquis de La Rouërie à La Guyomarais, dans le pays de Lamballe, alors qu’il était à Paris ; cet homme avait donc la possibilité de mourir deux fois ?

A suivre…..

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OBJETS SACRES EN VENTE A VANNES

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OBJETS SACRES EN VENTE A VANNES

Chez Armor Troc rue madame Lagarde à Vannes, ou chez Luc de Laval et Antiques Laval rue Brizeux toujours à Vannes vous pouvez faire vos emplettes en calices, ciboires, custodes, lunules, encensoirs, burettes, ampoules pour huiles sacrées, reliquaires, Christ, Sainte Vierge, saints divers.

Vous trouverez aussi des ornements des diverses couleurs liturgiques dont certains du XVIIIème, des missels d'autel etc...

Tout ce qu'il faut pour mimer la messe ou, pire, célébrer une messe noire.

L'évêque de Vannes ne peut pas racheter ces objets liturgiques dont certains sont sacrés (calices, patènes, ampoules, lunules). Ces derniers objets n'ont pu être "bazardés" que par le curé d'une paroisse à moins qu'il ne s'agisse du produit de vols.

Si c'est par le fait d'un prêtre celui-ci s'est rendu coupable d'une profanation. Cela prouve aussi qu'il a de sérieuses lacunes canoniques ! Une fois consacré un objet du culte ne peut pas être vendu. Quant aux reliquaires et aux statues, c'est scandaleux.

Les israélites sont tranquilles on ne risque pas de trouver des phylactères (équivalent du reliquaire pour les catholiques) dans le bazar des antiquaires. Ce qui n'est pas le cas des objets du culte catholique !!!

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