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TINTIN EN AMERIQUE

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TINTIN EN AMERIQUE

Il peut être bon de relire L'article du Blog de février 2012 au moment où le locataire de l'Elysée vient faire la roue chez les ex-Insurgents qui avaient demandé l'aide de Louis XVI pour se libérer du joug des Anglais dont ils faisaient partie intégrante. Les Zadistes de l'époque en quelque sorte! 

Ces Insurgents commandés par un nommé Georges Washington qui quelques années auparavant avait assassiné un émissaire du roi Louis XV. Peut-être Trump, qui semble s'intéresser à l'Histoire, contera au petit Micron cet épisode de l'Histoire américaine qui fut un des éléments qui mit le feu aux poudres de la guerre de Sept ans (1756-1763) et fit des centaines de milliers de victimes à travers le monde ; cette Guerre de Sept ans qui mit aussi le feu aux poudres des colons anglais d'Amérique car ceux-ci furent l'objet d'une surtaxation de leurs productions pour nourrir la "royale-mère-patrie" presque ruinée par ce conflit de sept ans.

Le locataire de l'Elysée a été reçu à Mount Vernon la maisonnette de Washington à l'époque ; peut-être en lui faisant visiter les lieux en le promenant par la main ou durant le repas en l'ayant pris sur ses genoux Trump lui aura raconté cette page peu glorieuse de l'assassinat d'un diplomate français ?

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L’ÉCRIN DU CŒUR DE ANNE de BRETAGNE

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L’ÉCRIN DU CŒUR DE ANNE de BRETAGNE

L'écrin contenant le cœur de la Duchesse Anne, reine de France, a été volé par les révolutionnaires lors de la profanation des tombeaux des Carmes à Nantes en août ou plutôt en septembre 1792 ;  peut-être à la même période que les malfrats parisiens qui se livrèrent à la profanation des tombeaux de la Basilique de Saint Denis.

Mathurin Crucy avait sauvé les tombeaux, œuvres de Michel Colombe, en les démontant et en les dissimulant dans le Jardin des Plantes d'où ils seront exhumés en 1814 avant d'être installés dans le transept sud de la cathédrale en 1817. L'écrin, lui, prit le chemin de la fonte où une main "bénie" (Bretonne ?) le retira de la fonderie. La superbe pièce d'orfèvrerie fut alors dirigée vers La Monnaie à Paris et préservée au Cabinet des Médailles de la Bibliothèque Nationale. Cette ouvrage du XVIème revint à Nantes et au musée Thomas Dobrée le 18 avril 1896.

122 ans après, dans la nuit du 13 au 14 avril 2018 l'écrin est volé ainsi que d'autres pièces de collection.

Alors que tout le monde commence à faire son deuil de cette importante pièce mémorielle, un exploit de la Police judiciaire - dont il faut souligner la célérité - (des Bretons ?) permet de la retrouver entre Saint Nazaire et Saint Marc sur mer en Loire Atlantique le 21 avril.

Les malfrats, deux ont été interceptés, risquent dix ans de prison. Que comptaient-ils faire de cette pièce unique ? La fondre pour récupérer l'or ? Ce serait prendre beaucoup de risques pour une faible valeur pécuniaire (au prix de l'or aux alentours de 12 mille € pour cet objet qui pèse 500 G intérieur émaillé compris). Faire du chantage aux assurances, l'écrin étant assuré pour 5 Millions d'€ ? Ou chercher un riche collectionneur ? L'avenir et la police le diront.

Cette pièce d'orfèvrerie, vide mais débordante de mémoire, a été numérisée en Trois dimensions au Laboratoire de l'Archéosciences de l'Université de Rennes ; le résultat du travail est remarquable ; avec votre souris d'ordinateur vous allez voir cet écrin sous toutes ses faces, extérieures et intérieures, accompagnées d'explications précises.

Bonne promenade virtuelle du logis de Anne de Bretagne.

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RÉPUBLIQUE PARADOXALE ET POLYPHONIQUE......

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RÉPUBLIQUE PARADOXALE ET POLYPHONIQUE......

 

Ne pas entendre par polyphonique le chant mélodieux à plusieurs voix d’une même partition musicale mais plutôt le chant de voix discordantes sur des partitions diverses. C’est ce que démontrent, au collège des Bernardins, le discours entendu et les actes vus de celui qui croit qu’il a un quelconque pouvoir pour sauver la France de la débâcle.

Un Gamelin associé à un Paul Reynaud du XXIème siècle. Un redoutable séducteur !

 

Les applaudissements nourris de l’assemblée mais aussi des évêques présents (il suffit de voir derrière sa moustache le regard épanoui de Fonlupt l’évêque de Rodez, diocèse en perdition alors qu’il fut riche en vocations il y a une vingtaine d’années) semblent traduire une grande satisfaction des propos tenus pendant une heure par Macron, enfumage disent certains alors que le mot anesthésie serait plus véridique.

 

« Le lien entre l’Eglise et l’Etat s’est abîmé il nous incombe, à vous comme à moi, de le réparer ». La vérité aurait exigé que l’ordre des responsabilités fut inversé : Le lien entre l’Etat et l’Eglise s’est abîmé, il incombe à l’Etat de le réparer ; en effet il suffit d’entendre les cris d’orfraies des jacobins dès que l’Eglise reprend son rôle de responsable moral à défaut de spirituel. Que ce soit Juppé à l’égard du Pape Benoît XVI ou Valse (c’est voulu) avec les manifestations contre le mariage monosexe. C’est l’Etat qui s’en prend régulièrement à l’Eglise depuis 1789 avec sa phase spoliatrice de 1905, la chasse aux Congrégations jusqu’aux derniers risques pour les écoles privées hors contrat.

 

« La laïcité n’a certainement pas pour fonction de nier le spirituel au nom du temporel ni de déraciner de nos sociétés la part sacré qui nourrit tant de nos concitoyens ». Ces propos visent-ils ceux de Peillon accablant l’Eglise il y a quelques années ou ne seraient-ils pas plutôt une simple bouillie pour les chats catholiques.

Il salue l’Eglise qui veille sur « la dignité des plus fragiles » mais lui reconnaît un simple rôle d’assistant « la France a été fortifiée par l’engagement des catholiques » oubliant que l’Eglise auprès des Rois qui ont fait la France a un vrai rôle fondateur, y compris dans ses institutions, et non de fortifiant ; que certain clergé  a été responsable de la révolution au nom de soi-disant principes chrétiens y compris dans l’élaboration des Droits de l’homme et du citoyen. « La part catholique de la France », « l’engagement de l’Eglise auprès des plus faibles » en citant deux organisations caritatives mais caressant dans le sens du poil avec vous devez « vous engager dans le combat politique » (contre qui ?) mais « en obéissant à la république » c’est « la règle d’airain » ! Donc obéissance dans le bon sens.

 

Si le cardinal Vingt-Trois applaudit très mollement, d’autres évêques (Lalanne) manifestent un bel enthousiasme ; en remerciement pour le Vade mecum que le rusé président vient de déposer à leurs pieds avec l’onguent sédatif dans leurs oreilles ?

 

En effet Macron aurait pu montrer les actes de son discours dans un exercice simple : La peine de mort a été abolie le 18 septembre 1981 par le combat de Badinter ; cette abolition est destinée aux assassins et criminels.

 

Elle ne concerne en rien les innocents condamnés à mort par les criminels y compris ceux en blouse blanche. L’abolition de la  peine de mort va être abolie pour Vincent Lambert dont les parents demandent qu’il  soit mis dans un service médical spécialisé prêt à l’accueillir. Cela est refusé par l’Etat sous la responsabilité du docteur Vincent Sanchez, gériatre de formation et Chef du service de soins palliatifs du CHU de Reims qui vient de décider de l’exécution de son malade par privation de toute alimentation y compris par perfusion de sérum isotonique glucosé ou salé. Une mort qui va durer plusieurs jours comme elle a été appliquée récemment dans un hôpital de la Sarthe à un ancien Membre du Souvenir Chouan de Bretagne. Est-ce cela le respect de la dignité humaine ?

 

Une exécution comme celle qui a été prononcée contre saint Maximilien Kolbe.

 

Oh ! Les évêques, comme Macron vous l’a dit aux Bernardins, engagez-vous dans le combat politique ; pour le moment il n’y a qu’un évêque, absent à Paris, mais explicite dans son diocèse qui a lancé un appel pour sauver Vincent Lambert.

1 évêque sur 171 (actifs et émérites) en métropole !

 

Autre paradoxe républicain : Le colonel Beltrame encensé à juste titre pour son acte de soldat, devenu par sa mort un acte sacrificiel (ce qu'il n'avait certainement pas envisagé) aurait-il été encensé autant s'il n'avait pas été tué ? La question peut se poser lorsque l'on entend que les trois légionnaires qui ont défendu une jeune fille agressée par un voyou voleur vont passer en justice parce qu'ils ont cassé une dent audit voyou !

 

Sacrée république des paradoxes. Trois petits points, c'est tout !

 

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FEIZ HA BREIZ FOI ET BRETAGNE ABBÉ JEAN-MARIE PERROT

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FEIZ HA BREIZ           FOI ET BRETAGNE                            ABBÉ JEAN-MARIE PERROT

Belle réunion hier soir à Vannes organisée par le Cercle Jean-Pierre Calloc’h pour entendre une conférence donnée sur l’abbé Jean-Marie Perrot, Yann-Vari Perrot, assassiné sur la route le ramenant à Scrignac, à hauteur de la chapelle de Koatkéo après avoir célébré la messe en la chapelle saint Corentin. A quelques mètres de l’endroit ou avait été assassiné et massacré en 1797 son prédécesseur l’abbé Claude Jegou (Klaoda Jegou) par des Bleus, ancêtres des communistes anticatholiques de 1943. Yann-Vari Perrot avait dans les années 30 exhumé les restes de son prédécesseur et les avait inhumés près de la chapelle dédiée à la Sainte Vierge qu’il avait faite restaurer à partir des ruines de l’antique lieu de culte laissées par la révolution.

C’est dans cette chapelle de Koatkéo que le mariage des parents du conférencier d’hier soir avait été célébré par l’abbé Yann-Vari Perrot en 1939 ; c’est dans cette même chapelle qu’ils célébrèrent leurs noces d’or en 1989. Et c’est par les mains du même abbé Perrot que notre orateur fut baptisé.

Des liens donc sensibles et intimes entre le prêtre évoqué et Youenn Caouissin qui entraîna la centaine de personnes présentes à la découverte véridique de  la vie de ce prêtre, malmené par une histoire résistantialo-bolchévique ramenée volontairement à l’occupation allemande dont on oublie un peu trop souvent qu’elle eut lieu à cause de la défaite des Armées françaises devant un ennemi pas forcément mieux armé mais surtout plus discipliné et non miné par un défaitisme lié en particulier aux accords signés entre les nazis et les soviétiques.

Des armées allemandes dont les armes n’étaient pas sabotées par un ennemi intérieur qui, une fois la défaite consommée, restera à la solde de l’ennemi jusqu’au 22 juin 1941 lors du déclenchement de la guerre contre les soviétiques.

Mais cela est une autre histoire.

Catholique fervent et engagé dans le chemin de l’apostolat son évêque le trouvant trop religieusement turbulent l’avait envoyé en exil dans ce territoire nord-finistérien surnommé la petite russie bretonne. Un territoire fortement tenu par les disciples de Lénine et Trotski, leur démagogie, leur terreur.

Un presbytère ouvert à tous, à condition de laisser à l’entrée les idées dissonantes qu’elles soient politiques ou autres. Contrairement à ce qui est dit ou écrit il est très éloigné des séparatistes ; il est empli de Nation bretonne unie à la France comme en 1532. Violemment anti-révolution qui a fait perdre son indépendance à sa Bretagne et l’anéantit inexorablement. Unicité de cette Province dans le seul et salvateur christianisme. Des propos outrageants pour un communisme apatride qui, tel un suppôt d’Al Capone, va payer 1000 Francs de l’époque un tueur à gage, Jean Thépaut, pour exécuter l’abbé revenant de célébrer  la messe accompagné de son enfant de chœur.

 
La terreur communiste est telle que personne n’osera toucher au corps de l’abbé. Seule sa servante l’assistera dans son agonie de plusieurs heures.

Il fut un Confesseur de la foi mais on ne le verra jamais sur les autels ; quel évêque prendrait le risque ?

Cela fera 75 ans en décembre qu’il a été assassiné ; le 2 avril en ce lundi de Pâques 2018 sa tombe a été profanée avec une inscription le traitant de fasciste. Ce qui montre que les tagueurs ont une méconnaissance totale de ce qu’est le fascisme, idéologie de gauche popularisée par Mussolini, nourri de Marx, Bakounine, avec sa descente sur Rome en 1922 après qu’il ait fait alliance avec la bourgeoisie comme elle l’a fait en France en 1789-1792.

L’abbé Yann-Vari Perrot a été le dernier d’une série de recteurs de Scrignac assassinés à cause de leur Foi : Klaoda Jegou en 1797, Etienne Bernard mort en prison le 17 juillet1795, l’abbé Coz guillotiné à Brest en 1794.

 

Feiz ha Breiz….Foi et Bretagne. L'abbé Perrot avait 66 ans.

 

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