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BOUVRON 1794 ABBE NICOLAS CORBILLE

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BOUVRON 1794 ABBE NICOLAS CORBILLE

C'est le jeudi 24 avril 1794, dans l'Octave de Pâques il y a 225 ans ; l'abbé Nicolas Corbillé a été pris dans une maison du village du Bas Bezou à la sortie de Bouvron, sur la droite en allant à Savenay de sinistre mémoire où l'Armée catholique et royale a été anéantie 4 mois exactement plus tôt. C'était le 23 décembre (et non le 25 comme on peut le lire dans Valeurs actuelles hors série).

L'abbé n'a pas prêté le serment au yeux de la loi car le serment qu'il avait prêté, à sa façon, ne convenait pas aux autorités. Son curé, l'abbé Delamarre ne l'avait pas prêté pensant que, par son âge, il n'était pas concerné. Le 16 novembre il a été noyé dans la Loire à cause de cela.

Ainsi l'abbé a été arrêté lors d'une visite domiciliaire dans cette maison où la veuve Perrine Guitton, 64 ans, et sa fille Marie, 28 ans, s'apprêtent à dîner (déjeuner maintenant); les Bleus remarquent qu'il y a trois poissons dans la poêle, fouinent et trouvent un homme qui se dissimulait. Les deux femmes le présentent comme le domestique.

Tout le monde est emmené à Bouvron et là le "domestique" sera reconnu. Il est emmené dans l'ancien presbytère devenu poste de police ; prétextant une envie urgente il est autorisé à s'éloigner afin de la satisfaire. L'abbé en profite pour s'enfuir mais un coup de fusil l'atteint au dos et il s'écroule. Il est ramené à l'église où il a tant célébré la messe même dernièrement alors que c'était interdit. Il est collé le dos contre le mur encadré de ses deux bienfaitrices et il est fusillé. Il n'avait pas 39 ans.

Près de l'ancienne église, qui se dressait sur cette place qui porte son nom, une croix marquait le lieu de son supplice ; l'abbé avait été enterré au pied. La croix près de l'église actuelle n'a aucun rapport avec ce crime.

Les deux femmes seront emmenées à Nantes où elles disparaîtront.

Leurs noms ne figurent pas dans le registre d'Etat civil que j'ai compulsé en mairie ; le nom de l'abbé n'y figure pas non plus. S'il n'y avait pas cette plaque portant son nom qui se souviendrait de lui ?

De 1790 à ce jour funeste il a exercé son sacerdoce sur les paroisses environnantes, bénéficiant de la complicité et de la protection de ses ouailles: Bouvron, Malville, Fay, Blain, toujours par routes et chemins, baptisant, confessant, mariant, accompagnant les mourants célébrant dans les chapelles qui se trouvaient miraculeusement ouvertes où dans la clairière en bas de celle de Saint Roch.

Il était né à La Chapelle des Marais, en Brière, haut lieu de résistance aux idées jacobines avant de basculer dedans avec le Front Populaire (on y a eu des mairies communistes)!

Autre article de 2014.

BOUVRON 1794 ABBE NICOLAS CORBILLE
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22 AVRIL ORDINAIRE EN 1794

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22 AVRIL  ORDINAIRE EN 1794

Place de la révolution, actuellement Concorde, ci-devant Louis XV, en ce 22 avril, qui est un mardi, il y a 225 ans, une famille est décimée au nom de la bienfaisante, moralisatrice, égalisatrice révolution, monstrueuse utopie voltairo-rousseauiste !

Sont morts les cinq Membres de la même famille:

-Chrétien-Guillaume de Lamoignon de Malesherbes, 72 ans, Botaniste, Membre de l'Académie, deux fois ministre de Louis XVI, avocat du Roi de France lors de la parodie de son procès. Alors qu'il offrait au Roi ses services pour assurer sa défense, Louis XVI lui avait déclaré : "Votre sacrifice est d'autant plus généreux que vous exposez votre vie et que vous ne sauverez pas la mienne".

En sortant de l'escalier qui donne sur la cour de Mai où attendait la charrette des condamnés, son pied gauche heurta une pierre et le fit trébucher. Retenons sa phrase, traduisant l'homme de fort caractère et qui manie l’humour malgré l’approche de sa fin dernière :" Voilà un sinistre* présage, un Romain, à ma place aurait fait demi-tour"

*En latin, gauche se dit "sinister" ; lorsque des Romains rencontraient un oiseau de mauvais présage venant de leur gauche, ils rebroussaient chemin. Ce mot latin est actuellement, de jour en jour, étymologiquement bien porté !!!.

-Jean-Baptiste Auguste de Chateaubriand, 34 ans, ex capitaine au Royal-Cavalerie, ancien conseiller au Parlement de Bretagne, (frère aîné de l’écrivain célèbre François-René), époux de Aline-Thérèse Le Peletier de Rosanbo

-Aline-Thérèse Le Peletier de Rosanbo, 23 ans, petite-fille de Monsieur de Malesherbes, (leurs deux enfants, âgés respectivement de quatre et trois ans lors de l'assassinat de leurs parents, seront élevés par Hervé-Louis Clérel de Tocqueville, époux de leur tante Louise-Madeleine Le Peletier de Rosanbo). Aline-Thérèse est la fille de :

-Louis Le Peletier , marquis de Rosanbo, 47 ans, Président à mortier (le mortier étant la coiffe en forme de toque que portent les Hauts magistrats de la Cour suprême de Justice), ancien Conseiller au Parlement de Paris, père de la précédente,

Marguerite Thérèse Antoinette de Lamoignon de Malesherbes, 38 ans, son épouse, fille de Monsieur de Malesherbes.

Le même jour :

-Jacques Duval d'Epremesnil, 48 ans, Avocat du Roy, ancien Conseiller au Parlement de Paris. S’il fut un temps favorable aux « idées nouvelles » il en revint très tôt et fomenta même une sorte d’officine du renseignement pour les Emigrés.

-Isaac René-Guy Le Chapelier, 40 ans, député Breton, avocat à Rennes, fondateur avec Defermon, Lanjuinais, Blin et Poulain de Corbion du Club breton, qui, s'installant à Paris dans l'ancien couvent des Jacobins, deviendra le Club des Jacobins. On lui doit la suppression des Corporations et autres Compagnonnages, rétablis au XIXème siècle sous le nom de syndicats.

On lui doit aussi les lois sur l'abolition des Privilèges (Lois privées), le 4 août 1789, supprimant "de facto" les lois régissant le Duché de  Bretagne, son pays natal.

Cette abolition des Privilèges, Loi Le Chapelier, fut illégale dans son application en Bretagne car elle aurait du être soumise aux Etats, souverains dans leurs décisions concernant un pays souverain..

Cela a du faire curieux à Jean-Baptiste Auguste de Chateaubriand, royaliste, ancien Conseiller au Parlement de Bretagne  de se trouver associé, au pied de la guillotine, à un Jacobin révolutionnaire "pur jus" et renégat breton !

Concernant les Chateaubriand cette famille donnera encore, le 31 mars 1809 (il y a 210 ans), une autre victime à la révolution impériale : Armand de Chateaubriand, agent entre les Princes exilés à Londres et les milieux royalistes de France. Agé de 41 ans il est fusillé dans la plaine de Grenelle après avoir été arrêté alors qu’il embarquait, à Saint Cast (Côtes d’Armor) pour Jersey. Armand est cousin de François-René dont la supplique auprès de Napoléon I et Fouché n’obtiendra aucune réponse.

 

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SCIMUS CHRISTUM SURREXISSE

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Même si ça les em.... Le Christ est ressuscité ; il n'est pas monté au ciel sur son âne d'un coup de talon dont nous n'aurions même pas la trace.

En ce jour où nous rappelons la Résurrection du Fils de Dieu torturé et outragé, sorti glorieux de son tombeau et non en catimini, honorons-le !

Les Chouans se sont soulevés pour beaucoup moins que ça ! Ils n'ont pas accepté les outrages à leur religion !

Jour de gloire mais aussi semaine de tristesse en pensant à Notre Dame à Paris dont les fidèles seront privés de cérémonies pendant des années à moins que Macron  n'en fasse une patinoire ou un stand de tir pour les prochains et ruineux jeux olympiques !!!!

Après tout, ses ancêtres révolutionnaires en avaient bien fait une sorte de lupanar dont l'égérie était la déesse Raison ! D'un autre côté soyons positifs ; c'est ce qui a permis de sauver les Grandes orgues !

MALGRÉ TOUT BELLES FÊTES PASCALES A TOUS LES MEMBRES DU SOUVENIR CHOUAN de BRETAGNE OU SIMPLES LECTEURS DE CE BLOG !

Video en hommage à NOTRE DAME.

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MEA CULPA

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MEA CULPA

 

Mea culpa concernant les origines du sinistre qui a détruit la couverture de la Cathédrale-Basilique Notre Dame à Paris (et non l'édifice qui n'est pas à reconstruire ; protégé par L’Unesco il ne peut donc être adapté aux goûts de Macron et son équipe).

Comme beaucoup j'avais fait un rapprochement un peu rapide entre échafaudages, travaux de toiture et de zinguerie donc chalumeau. Ci-dessous les arguments du Patron de Europe Échafaudages, en charge du chantier, qui l'emportent sur les explications hâtives du Procureur de Paris.

L'entreprise Le Bras Frères, basée à Jarny, qui montait l'échafaudage autour de la flèche de Notre-Dame de Paris, a «exclu» mercredi «toute responsabilité» dans l'incendie qui a ravagé l'édifice. «Ils excluent de fait toute responsabilité», a déclaré un porte-parole de l'entreprise à l'AFP, assurant qu'après «le premier choc», elle envisageait la situation avec «sérénité» puisque «les procédures ont été respectées».

Le patron de l'entreprise Julien Le Bras, a précisé que le jour du drame, il n'y a eu aucun travaux par point chaud ou électrique et qu'aucun employé n'était sur le site lors du départ de l'incendie. D'ailleurs, les images d'une caméra posée sur place sont toujours en cours d'analyse.
L'échafaudage, a-t-il précisé, était en cours de construction, devant «être livré à la mi-juillet» et «aucun travail sur la charpente n'avait encore commencé».

L'entreprise Le Bras Frères, installée à Jarny (Meurthe-et-Moselle), avait remporté un appel d'offres portant sur trois lots, l'échafaudage mais aussi la rénovation de la charpente en bois de la flèche et sa couverture extérieure. Ces deux dernières opérations n'avaient pas encore été engagées. (AFP)

« C’est facile de nous pointer du doigt. Mais plus les jours passent, plus je me sens serein. J’ai la ferme conviction qu’on n’est pas lié à l’événement.»

Si le chantier de l’échafaudage n’est pas en cause, c’est le grand mystère.

«Franchement, c’est dur à expliquer. Il n’y avait pas de travaux par points chauds ni travaux électriques.» Quelques personnes seulement s’attelaient au montage de l’échafaudage. «Le montage, c’est un marteau et une clé de 22!»

Soudure, court-circuit électrique?

«Les gens parlent beaucoup sans savoir. Il n’y avait pas de soudure sur plomb comme j’ai pu l’entendre. Certains ont même parlé de soudure sur bois! Quant à l’alimentation électrique, elle a été homologuée par un organisme agréé. Les ascenseurs étaient distincts de 7-8 mètres de la cathédrale.»

En fin de chantier, comme le préconise une des multiples et draconiennes mesures de sécurité, les hommes ont coupé l’alimentation électrique propre au chantier, lumières et ascenseur. «L’armoire électrique est alors fermée à clé et la clé remise au concierge», a expliqué Marc Eskenazi (Axa Assurances de Le Bras), conseiller en cette période de crise. «Au moment du départ de l’incendie, plus aucun salarié n’était sur place», assure-t-il

Côté charpente, Julien Le Bras exprime la surprise de beaucoup de spécialistes : «Il faut une vraie source de chaleur pour enflammer de telles sections de bois

Alors le PDG s’interroge et n’exclut pas l’intrusion, le pari stupide. «Beaucoup de gens cherchent à monter en haut de Notre-Dame.»Le Quotidien Luxembourgeois

 

Il est bon d'entendre aussi l'ancien Architecte en chef de la Cathédrale qui ne comprend pas comment du bois de plus de 800 ans a pu brûler aussi facilement. Quant à l'installation électrique elle avait été entièrement refaite il y a une dizaine d'années.

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SONNERIE PRESIDENTIELLE

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SONNERIE  PRESIDENTIELLE

Concours international d’architectes pour reconstruire la Cathédrale et reconstruire la flèche de Notre Dame par un geste architectural contemporain.

 

1 / Ce n’est pas une reconstruction les murs ont tenu et les voûtes aussi en dehors de la partie touchée par la chute de la flèche :

Les Anciens savaient manier la pelle, la truelle, le ciseau à froid et faire les mélanges de chaux de sable et d’argile pour faire des liants solides (et néanmoins souples). Ils ne connaissaient pas le béton trop rigide pour tenir dans le temps ; les Allemands en ont fait l’expérience avec leurs blockhaus, les Français avec l’Arche de la Défense et ses pittoresques filets ainsi qu’avec le théâtre de la Bastille.

Il faut refaire la toiture, poser un toit comme le disent les charpentiers et couvreurs. Peut-être le procédé de charpente pourrait être revu en abandonnant le bois et en faisant appel à l’acier (voire à l’inox). On ne trouvera pas de chêne assez sec pour construire une charpente qui pourrait vriller avec  du bois frais. L’architecte Alfred Tessier, dans le Maine et Loire, au milieu du XIXème siècle, a su mêler pour les 150 églises à son actif le bois et l’acier pour des charpentes indestructibles (sauf si vous mettez en action une pelle géante de 30 tonnes !).

 

2 / Le président de la république veut la refaire plus belle ; quelle est cette sottise ? La Cathédrale avait été voulue belle par ses constructeurs et si Viollet-le-Duc a un peu forcé sur la restauration cela n’a jamais altéré sa beauté.

Que veut donc inventer Macron ? Forcément une Beaubourgerie ? Remplacer les ardoises par des panneaux voltaïques ?

 

Des architectes doivent  faire des propositions pour refaire une flèche. Alors, les orientaux, un minaret ? Les Espagnols, une éolienne ? Les Bretons un menhir ? Les  Belges, une frite ? Les Américains, une maquette du 1 World Trade Center ?

Les Français pensent tout simplement, à part les Bobos, qu’il suffit simplement de refaire la toiture à l’identique, flèche comprise.

 

Quand on voit les horreurs déposées à Versailles, à Beaubourg, place Vendôme ou dans le parc du château de Kerguehennec à Bignan dans le Morbihan, on peut craindre le pire.

 

Notre Dame est une église, c’est à dire un lieu de réunion d’une assemblée (ecclesia) catholique, pour, par ses cérémonies, ses prières et ses chants, honorer Dieu Présent dans l’Eucharistie. Une église peut contenir des trésors mais ce ne sont pas eux et les millions de visiteurs qui en font un musée. Ce ne sont pas les visiteurs souvent bruyants, toujours bourdonnants qui font vivre une église !

 

Il suffit de lui redonner sa beauté d’avant la catastrophe. Ce n’est pas parce que la Constituante puis la république, par sa loi de 1905, ont volé les biens religieux que la république peut y faire ce qu’elle veut.

 

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NOTRE DAME et QUELQUES PERLES

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NOTRE DAME et QUELQUES PERLES

L'abondance d'émissions sur différentes chaînes et l'apparition de divers invités "spécialistes de tout" permet d'apprécier la mauvaise information de ceux qui viennent discourir et étaler leur suffisance devant les bedas qui les écoutent.

On entend différents âges accordés à la malheureuse cathédrale. La date entendue est celle de la pose de la première pierre. Or ce n'est pas exact ; la date normalement retenue par l’Église est celle de la dédicace et consécration de l'autel majeur. Pourquoi cette date là ? Tout simplement que par cette consécration la Messe peut-être célébrée dans des conditions normales pour recevoir dignement une assemblée ; même si l'édifice, qui a ainsi sa destination d'église affirmée, n'est pas terminé. Dans le cas de Notre Dame la dédicace et consécration de l'autel majeur ayant eu lieu le mercredi 19 mai 1182 elle est donc âgée de 837 ans.

Stéphane Bern nous annonce la découverte, dans les gravats de la nef, du coq gaulois qui coiffait la flèche érigée par Viollet-le-Duc. Ce coq contient des reliques, en particulier "une épine de la croix". Il s'agit évidemment d'une épine de la couronne dont les Romains coiffèrent par dérision le Fils de Dieu la nuit où ils le torturèrent avant de le crucifier. Quant au coq retrouvé dans les gravats c'est un miracle qu'il ait été sauvé par la chute de la flèche tombant dans la nef  le préservant ainsi de la destruction par le feu. Ce gallinacé en cuivre n'a rien de gaulois, ce que semble ignorer Bern. Ces coqs qui surplombent grand nombre de nos églises sont là pour rappeler la versatilité de l'homme et le reniement de Saint Pierre "avant que le coq ait chanté tu m'auras renié trois fois".

Entendu également qu'à Notre Dame furent célébrées les obsèques de De Gaulle, de G. Pompidou et de Mitterrand ce qui est faux. Georges Pompidou reçut bien des obsèques nationales en la cathédrale mais pour  De Gaulle les obsèques eurent lieu à Colombey les deux églises (avec une messe d'hommage en la cathédrale) et pour Mitterrand à Jarnac avec une co-célébration (c'est à dire au même instant ) par le Cardinal Lustiger qui conclut son homélie adressée à l'agnostique déclaré "Maintenant tu sais !". Le même cardinal qui avait cité de larges extraits de la préface rédigée par Mitterrand pour le livre de Marie de Hennezel "La mort intime" ; comme je l'avais écrit au Cardinal cette préface signée par Mitterrand avait en fait été écrite par l'auteur co-fondatrice, avec Madeleine Trubert, de la secte IVI (Invitation à la Vie Intense).

Les grandes orgues sauvées grâce aux fêtes civiques ; certes mais plus précisément parce que la cathédrale fut profanée par les athées la transformant en Temple de la Raison puis au printemps 1794 en Temple de l'Être suprême avant de devenir Temple de la théophilanthropie lors de la reprise de la persécution des catholiques sous le Directoire (1797-1798). Comme pour ces bacchanales les organisateurs avaient besoin de musique c'est ainsi que fut sauvé ce magnifique instrument.

Un des intervenants parle des cloches dont la chambre a été sauvée du feu par les pompiers et cite le bourdon Emmanuel (seule cloche rescapée de la révolution) remarquable par son très grand poids. Lequel attend-on. Suspens. Or le poids remarquable est de plus de treize tonnes ! (un poids remarquable qui en fait une des cloches les plus lourdes au monde)

Pour terminer la remarque que l'on fait de cette merveille d'abord un lieu lié à la culture, en deuxième un lieu cultuel chrétien, enfin vient, timidement, le mot catholique.

Il faudrait remettre de l'ordre dans ces notions. Ceux qui, dès 1163, ont fait surgir du sol ce remarquable édifice depuis les terrassiers, les manœuvres, les maçons, les tailleurs de pierre, les sculpteurs, les menuisiers, les "grutiers", les architectes puis les charpentiers, les couvreurs et les maîtres-verriers ont voulu une très belle église en l'honneur de sa Sainte Patronne et de Dieu. Et il fallait le plus beau de la pierre, de la sculpture, de l'architecture, une démonstration éclatante de Foi pour y entendre la messe et y recevoir les sacrements. C'est ainsi que la culture chrétienne y a gagné sa visibilité. Maintenant il reste de façon prédominante le terme d'édifice culturel puis édifice cultuel chrétien (Protestant ? Orthodoxe ? Copte ? Melchite ?). Puis lieu de culte catholique ; non Cathédrale (de cathèdre le siège de l'évêque) catholique.

Beaucoup de contorsions pour éviter les noms de Dieu, de catholique, de Jésus, Marie qui n'est que Notre Dame de Paris, difficiles de parler de Semaine Sainte, Résurrection ; Pâques a plus de chance. Mais surtout Stéphane a encore de la peine avec  certains mots !

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TRAGEDIE, TRISTESSE ET COLERE

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TRAGEDIE, TRISTESSE ET COLERE

Dans les cas de maladies graves il existe des protocoles d'échanges entre les médecins thérapeutes concernés. Cela permet de trouver des améliorations aux traitements et une plus grande efficacité.

Propriétaire de la quasi totalité des édifices religieux construits avant 1905 (et des édifices publics bien entendu) l’État aurait du réagir en étant prévoyant (gouverner c'est prévoir disait Adolphe Thiers) après les incendies ayant consumé les charpentes de la Cathédrale de Nantes - 28 janvier 1972 - du Parlement de Bretagne - 4/5 février 1994 - de la basilique Saint Donatien - 15 juin 2015 (encore Nantes).

Le point commun de ces charpentes avec celle de Notre Dame de Paris : être constituées de poutres, pannes, bastaings anciens et donc très secs (qualité de leur résistance aux poids et contraintes qu'ils supportent).

Si le Parlement de Bretagne a vu son toit partir en fumée en quelques heures il le doit à l'incurie du concierge qui coupa l'alarme rapidement pensant à un dysfonctionnement alors que les fusées de détresse, tirées vers le toit par les marins-pêcheurs venus manifester, étaient en train de se consumer et de mettre le feu aux liteaux et conséquemment à la charpente. Le concierge mis en examen bénéficiera d'un non lieu ! (entre 35 et 54 millions d'€ de restauration).

La Cathédrale de Nantes doit aussi son incendie à un ouvrier couvreur ayant laissé (par mégarde dira t-il) son chalumeau allumé après une retouche sur zinguerie (dans un environnement que de bois très sec !).

Saint Donatien dont la charpente a brûlé en quelques heures le 15 juin 2015 (et toujours fermée) le doit à deux ouvriers couvreurs qui travaillaient avec un chalumeau, sur le toit à la croisée du transept nord. Pas de précautions particulières et le résultat que l'on sait.

L'emblématique Cathédrale Notre Dame de Paris, chargée d'Histoire, a perdu entièrement son toit en une dizaine d'heures après un départ d'incendie, sans aucun doute au pied de la flèche dite de Viollet-le-Duc, causé par les couvreurs qui travaillaient à cet endroit et certainement avec un chalumeau. Qu'il n'y ait pas eu d'ouvriers blessés veut donc dire qu'à 18 H 45 il n'y avait plus personne sur le chantier.Et personne, en partant, n'a cherché à savoir si le chantier était sécurisé ? Sur un tel édifice à la charpente de 800 ans à peu près ?

Et l’État ne devrait-il pas remplir son rôle de propriétaire (par vol !) en faisant assurer par des vigiles, la surveillance des chantiers qu'il entreprend ?

On doit donc déplorer l'insouciance ou le j'm'en foutisme de ces "professionnels". Ils sont responsables de ce que les Communards n'avaient pas réussi le 23 mai 1871 : mettre le feu à la Cathédrale. Il est vrai que le sauvetage de cette nuit de 1871 était du à la bravoure des étudiants en médecine de l'hôpital de l'Hôtel Dieu (à gauche de l'esplanade) qui avaient vu le départ d'incendie dans la tour sud et s'étaient précipités pour empêcher la catastrophe.

Pour conclure, l'Etat si fécond en création de Comités Théodule et autres usines à gaz bidon pour recaser les petits copains (voir Jean-Marc Ayrault - richissime retraité - et président de la Fondation pour la mémoire de l'esclavage) n'a jamais tenu aucun compte des alertes que représentent, pour le patrimoine de la France, ces différents incendies. Il aurait pourtant pu créer, là, un Comité de réflexion utile.

Les pompiers ont beau être très valeureux ils ne disposent pas du matériel adéquat pour intervenir sur les cathédrales ou églises dont la faitière culmine à 40 ou 50 mètres (54 m pour Notre Dame et non presque 100 m comme souvent dit - 96 m à la pointe de la flèche). Il ne reste que la prévention des risques, la surveillance en période de travaux,  toutes choses qui seraient moins onéreuses que de reconstruire.

La voûte de Notre Dame a souffert, surtout de la chute de la flèche mais aussi de l'eau. Quand est-ce que se rouvriront ses portes ?

Quelle tristesse mais aussi quelle colère devant cette tragédie !

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LA GRANDE TRAHISON

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LA GRANDE TRAHISON

Il s'agit d'un ouvrage de 317 pages intitulé, comme vous le voyez sur la photo "Puy du Fou, La grande trahison".

Je lui ai consacré un mini article sur le Facebook de notre Association intitulé "Eh ben, dites-donc" avec cette introduction:

Je viens d'acheter ce matin l'ouvrage de Christine Chamard qui a le courage d'écrire un ouvrage consacré à ce que j’appellerais "les coulisses du Puy du Fou".

Que ceux qui viendraient railler, ironiser voire calomnier l'ouvrage et sa rédactrice commencent d'abord par acheter l'ouvrage pour 317 pages de révélations sans illustration ni pages à colorier (selon un mot célèbre).

Cet ouvrage est en vente dans toutes les bonnes librairies depuis ce matin au prix de 22,90 €.

Comme quoi il y a un tas de pelotes dont il suffit de tirer le fil du mensonge pour que tout vienne ! Et je n'ai lu que 20 % de l'ouvrage !

Pour moi qui ai fait partie des laudateurs jusqu' au 17 novembre 2013...EH BEN DITES-DONC !

Un commentaire est apparu rapidement:" le puy du fou dérange de plein de manières alors allons y donc . cette dame pendant 20 ans aurait été aveugle et bien c est un peu long pour moi . et pas très crédible pour une journaliste de qualité ! Pourquoi n est elle pas partie bien avant"

Ma réponse: Ludivine vous avez mal suivi; le Puy du Fou n'est en rien visé en tant qu'organisation culturelle. L'écrivain a simplement écrit, ce qui a été applaudi pour un autre, que l'heure était venue de dire ce qu'elle a vu, lu et entendu. J'ai prévenu en en-tête qu'avant de railler ou calomnier l'auteur il était bon d'acheter l'ouvrage dont les révélations sont stupéfiantes et n'entachent en rien le travail et le dévouement des bénévoles, bien au contraire !

Commentaire persistant: Je suis quelque peu énervée à chaque fois qu il peut se passer quelque chose qui peut aider au souvenir de notre passé. Il se trouve une personne qui dégrade . Pourquoi cette personne a t elle attendu aussi longtemps ? si elle l avait parlé plus tôt tôt ceux qu elle accuse aurait peut être reculé dans leur action. je ne retiens que cela : 20 ans pour parler !

Ma rupture de discussion, dialogue impossible : Je ne répondrai plus ; je vous dis simplement de lire cet ouvrage très bien ficelé et vous vous apercevrez que la situation n'est pas aussi simple que vous voudriez la voir. Et que la marge de manœuvre des Puyfolais convaincus est inexistante

Cet ouvrage ne touche en rien à ce qu'est le Puy du Fou au contraire il insiste sur le fait que cette remarquable organisation est récupérée au détriment de ceux qui la font : les bénévoles. Je savais des choses mais là je les ai lues et j'admire le courage de l'auteur car elle entre là dans des moments difficiles !

Il va y avoir des grincements de dents chez ceux qui disent savoir et qui, finalement, ne font que répéter le ronron habituel. Les vrais fondateurs ont été écartés, chassés, sans aucun égard. Pour ceux qui ne sont pas allés récemment dans ce lieu d'Histoire je signale que le site emblématique appelé "Le chemin creux des guerres de Vendée" a disparu.
Plus rien au Grand Parcours ne rappelle les Guerres de Vendée.

Mais j'y retournerai pour le splendide "Le mystère de La Pérouse".

 

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CHATEAU D'AUX, 2 et 3 AVRIL 1794, IL Y A 225 ANS

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CHATEAU D'AUX, 2 et 3 AVRIL 1794, IL Y A 225 ANS

 

Mon père, ce héros au regard si doux.

Est-ce que les 270 personnes, qu’il escortait vers les fosses devant lesquelles elles allaient être fusillées, ont pu apprécier la douceur du regard ?

C’était dans le parc du château d’Aux, près de La Montagne, à 20 Km Ouest, S-O de Nantes au bord de la rive gauche de la Loire.

Voici ce que note dans ses mémoires Brutus Hugo:

 

« Tous les détachements qui se rendaient du château d'O (d'Aux) à Nantes par la traverse qui passe sous Bouquenay (Bouguenais), étaient ordinairement attaqués par les habitants de cette commune. Notre cavalerie ayant souffert dans l'une de ces attaques, l'officier supérieur qui commandait la colonne dont elle faisait partie, se retira ; mais au lieu de rentrer au château, il revint de nuit sur Bouquenay, y prit 270 hommes et 22 jeunes filles qu'il nous amena le lendemain. Les écuries, les granges et les greniers, furent remplis de ces malheureux. Les jeunes filles furent déposées dans une chapelle : leur âge était de quinze à vingt-quatre ans. Tel était encore à cette époque l'état de cette affreuse guerre, qu'on ne tombait entre les mains de son ennemi que pour y recevoir la mort. Muscar, commandant du poste, embarrassé de ce douloureux trophée, demanda des instructions sur la conduite à tenir dans la circonstance. On lui répondit de garder les prisonniers, et qu'on allait lui envoyer des juges pour examiner leur conduite. Mais, avant l'arrivée de ce tribunal, des ordres nous parvinrent de jeter beaucoup de petites colonnes dans la campagne, et je me trouvai presque seul dans le château, avec un grand nombre de malheureux qui ne se firent remarquer que par leur douce résignation. Je leur parlais du désir que j'avais de les voir libres, mais tranquilles et livrés à la culture de leurs terres. Je leur peignais tous les maux qu'une conduite hostile devait nécessairement attirer sur leurs cantons, et tous me promettaient de suivre mes conseils, s'ils avaient le bonheur d'échapper au malheur qui les menaçait.

Quelques détachements rentrèrent et nous amenèrent un tribunal spécial nommé à Nantes pour juger nos prisonniers. (C'était la Commission militaire révolutionnaire Bignon du nom de son président, le capitaine François Bignon, établie le 14 décembre 1793 au Mans après la bataille massacre, par les Représentants du peuple Bourbotte, L. Turreau et Prieur de la Marne.  Elle vint ensuite s’établir à Savenay après la bataille-massacre du 23 décembre (et non 28 puis 25). Elle s’installa ensuite à Nantes à l’Entrepôt des cafés ou au Bouffay ou bien à l’Eperonnière. Le 1er avril 1794 elle est au château d’Aux).

A l'opinion qui régnait parmi ses membres, nous nous attendîmes tous à ne leur voir prononcer que la peine capitale. Mes fréquents entretiens avec ces prisonniers m'avaient inspiré pour eux un intérêt que leur simplicité et leurs promesses n'avaient fait qu'accroître. J'osai, au jour du jugement, me présenter devant le tribunal, non pour les défendre, on ne me l'eût point permis, mais pour demander qu'au lieu de les condamner à la mort, on les envoyât travailler dans les mines de l'intérieur de la France, jusqu'à la pacification qui ne pouvait tarder. Le tribunal m'écouta sans m'interrompre, et son président me répondit que rien n'autorisait les juges à prendre sur eux cette mesure de clémence.

Je vis donc, après quelques courtes questions de pure forme, condamner ces 270 infortunés à la peine terrible à laquelle ils s'attendaient : on les conduisit à la mort par petites troupes ils la reçurent avec calme, à côté des fosses ouvertes pour les recevoir. J'ai beaucoup fait la guerre, j'ai parcouru de vastes champs de bataille, jamais rien ne m'a tant frappé que le massacre de ces victimes de l'opinion et du fanatisme.

A peine ces malheureux furent-ils condamnés, que le tribunal reçut ordre de retourner à Nantes. Le président pria Muscar de faire juger les jeunes filles par une commission militaire ; et cet officier, désirant les sauver, me nomma, quoique bien jeune encore, pour présider ce tribunal, certain que je ne démentirais pas les sentiments d'humanité qu'il me connaissait. Il n'osa point influencer la nomination des autres membres, mais il me pria de tout faire pour les apitoyer sur les infortunées dont le sort était remis entre nos mains.

Un vieux sous-lieutenant du 13ème de Seine-et-Oise, nommé Fleury, s'il m'en souvient bien, homme sombre et taciturne, devant opiner le premier, je craignis que sa voix n'influençât défavorablement les autres juges, et je crus, avant de la lui demander, devoir, après la rentrée des prévenues dans la chapelle, représenter au tribunal qu'il était bien pénible pour des militaires, d'être appelés à prononcer sur le sort de malheureuses victimes de la guerre ; qu'il l’était plus encore quand les jugements devaient tomber sur des jeunes filles qui ne pouvaient avoir pris aucune part aux hostilités ; sur des infortunées qui toutes versaient déjà des larmes de sang par suite des événements affreux dont nous venions d'être témoins, et dont elles ne pouvaient douter, puisque tous les feux meurtriers avaient retenti jusqu'à elles. J'engageai les juges à bien se recueillir, à ne chercher aucun modèle de conduite, et à prononcer d'après leur cœur.

Alors ce vieil officier, que je craignais tant, dit à haute voix et sans sortir de son caractère : « Je me suis fait militaire pour combattre des hommes et non pour assassiner des femmes. Je vote la mise en liberté des vingt-deux prévenues, et leur renvoi immédiat chez elles ». Cette opinion, qui m'aurait précipité dans les bras du brave homme si j'avais osé le faire, fut appuyée de suite par un lieutenant de la légion nantaise qui le suivait, et bientôt une heureuse unanimité ouvrit les portes de la chapelle à ces enfants tous à genoux ; à ce jeune troupeau qui aujourd’hui peut-être entretient encore de ses terreurs et de sa joie inespérée la nombreuse postérité qui doit en être issue.

Muscar vint alors remercier le tribunal de sa généreuse conduite, et nous exprimer ses regrets que les 270 prisonniers qui venaient de périr n'eussent pas été soumis à un arrêt aussi doux que le nôtre. Cependant, qui le croirait, des hommes prévenus ou mal informés ont fait planer sur ce brave officier l'accusation d'avoir lui-même nommé le tribunal à qui Bouquenay doit sa dépopulation ».

 

CHATEAU D'AUX, 2 et 3 AVRIL 1794, IL Y A 225 ANS

La liste comporte 210 noms ; un enfant de 13 ans a été exclu ; il y a donc 209 exécutions. Ce qui représente 7,5 % de la population de Bouguenais (2790 habitants en 1793) ; sur ce nombre 5 personnes « capturées » à Bouguenais sont natives de villages voisins donc 7,3% de Bouguenaisiens. Le héros au sourire si doux parle de 270.

Les exécutions se sont déroulées sur deux jours : 152 adolescents et adultes âgés de 15 à 78 ans, 151 fusillés et 1 renvoyé (13 ans) ; le 3 avril :  57 de 17 à 72 ans.

Le « tribunal » est composé de : Bignon, président, Wolff, Chanterelle, Aude juges, David Vaugeois accusateur militaire, Le Camus greffier.

Lors de l’exhumation, le 14 mai 1816, à la demande des familles, les six fosses sont ouvertes ; le Journal de Nantes parle de 400 victimes. A la ré-inhumation dans le cimetière de Bouguenais, après la messe de Requiem célébrée dans l’église paroissiale, les restes des victimes sont inhumés dans une fosse que surmonte depuis cette date un monument bien visible avec une plaque d’ardoise portant ce texte :

 « Aux victimes de la Religion et de la Royauté immollées (sic) en avril 1794 »

« Qui donnera de l’eau à ma tête et à mes yeux une fontaine de larmes pour pleurer jour et nuit les enfans de la fille de mon peuple qui ont été tués. Jérémie Chap. IX »

CHATEAU D'AUX, 2 et 3 AVRIL 1794, IL Y A 225 ANS
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ARNAQUE AU DEPANNAGE DE PC INFESTE.

Publié le par culture

Rousseau un maïtre de l'arnaque

Rousseau un maïtre de l'arnaque

J'ai failli être victime d'une arnaque il y a deux heures ; seuls quelques petits détails m'ont incité à la méfiance.

En effet l'ordinateur portable du Souvenir Chouan de Bretagne sortait de révision hier avec protection antivirus.

Tout d'un coup l'écran s'est bleui, le sigle de Windows étant  bien visible, une alarme a résonné des annonces clignotantes annonçant que l'ordinateur était en grave danger. Numéro de téléphone à appeler, ce que j'ai fait.

Réception féminine m'annonçant qu'elle allait prendre la main, ce que j'ai laissé faire sans souci en lui annonçant qu'il n'y avait rien d'important, ni fichier ni banque.

Défilé dans les différents dossiers et logiciels où l'on me commente des dossiers arrêtés qui sont dus au virus.

On me propose un devis de réparation et un abonnement  anti virus pour 6 mois au prix de 140 €.

Hier j'en ai eu pour 39€ avec remise à jour du système, anti virus etc.

Je dis que c'est trop pour une association ; la "secrétaire-dépanneuse" informe son autorité qui décide de faire un geste pour une association et propose 100€. Je prends l'excuse que je ne puis décider par moi-même et dois demander l'avis de mes collègues.

Appel téléphonique auprès du technicien d'hier qui me confirme que c'est de l'arnaque.

Effectivement j'ai trouvé le site contesté. Donc si votre PC se met à brailler et qu'une voix de femme vous prédit une catastrophe, coupez le son et fermez la page !

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